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Érotomanie : 8 symptômes qui prouvent que vous êtes érotomane

Érotomanie : 8 symptômes qui prouvent que vous êtes érotomane

Érotomanie…

Hmm…

C’est quoi ce vilain mot ?

Ce terme quelque peu difficile à cerner est en fait une psychose paranoïaque ou un délire, si vous préférez, dont souffre une personne qui est convaincue d’être aimée.

Pour faire simple, l’érotomanie est une désillusion qui fait que quelqu’un est persuadé qu’une personne est amoureuse de lui ou elle.

C’est une pathologie qui relève des troubles sexuels.

C’est une forme rare de désillusion qui se développe et qui persiste malgré le fait qu’il existe de nombreuses preuves du contraire.

De manière générale, ce trouble affecte davantage les femmes que les hommes et l’objet de l’affection est très souvent une personne inaccessible comme quelqu’un de plus âgé ou avec un statut social bien plus élevé.

D’ailleurs, la plupart du temps, la personne qui est l’objet de cette désillusion n’a eu que très peu de contact, voire pas du tout, avec l’individu qui souffre d’érotomanie.

Cette désillusion que l’on appelle également le syndrome de Clerambault est souvent accompagnée d’autres troubles mentaux même si ce n’est pas le cas chez tout le monde.

Alors, qu’est-ce qui peut bien causer l’érotomanie ?

Comment la déceler ?

Et, surtout, comment guérir ce trouble ?

Quelles sont les causes de l’érotomanie ?

L’érotomanie peut être le résultat d’autres maladies psychologiques comme la schizophrénie, la dépression, le comportement bipolaire ou la maladie d’Alzheimer.

C’est un trouble délirant tout comme la persécution, le sentiment de supériorité ou la jalousie.

Mais, comme pour bon nombre de troubles délirants, les experts ont beaucoup de mal à cerner les causes réelles de l’érotomanie.

L’hypothèse la plus évidente est un manque affectif durant l’enfance.

Si, au prime abord, on pensait que cela était lié aux carences affectives de la figure paternelle (à cause de la prédominance féminine de cette maladie), aujourd’hui, les experts pensent que l’origine de ce trouble se cache dans les carences affectives maternelles durant l’enfance.

En effet, comme la personne qui souffre de cette désillusion cherche principalement la composante féminine, cette explication semble beaucoup plus logique.

Les réseaux sociaux ne sont pas non plus innocents dans le développement de cette maladie.

En effet, des études ont prouvé que ceux-ci peuvent exacerber, voire déclencher, les croyances délirantes liées à l’érotomanie.

Comme les réseaux sociaux sont des outils qui éliminent les barrières entre les gens, il est devenu plus facile d’observer, de contacter, d’espionner et même de harceler les personnes qui attisent notre curiosité.

Dans ce cadre, la vie privée l’est beaucoup moins et cela facilite les comportements obsessionnels.

L’érotomanie peut aussi être le résultat d’un stress extrême ou d’un traumatisme.

Cette désillusion serait alors un mécanisme de défense face à la douleur ou à la peur que l’on ressent.

Mais son origine peut aussi être liée à la génétique.

En effet, des études ont prouvé que les troubles délirants se transmettent souvent de génération en génération.

Ainsi, on peut voir que les causes de l’érotomanie peuvent varier d’une personne à l’autre.

Pour certaines, c’est le résultat de la modernisation de la société qui fait peu à peu disparaître la vie privée.

Pour d’autres, c’est une désillusion liée à des troubles mentaux ou à un héritage génétique peu enviable.

Même si de plus en plus de personnes souffrent du syndrome de Clérambault, on n’en parle pas assez !

Pourtant, les troubles sexuels sont de moins en moins tabous de nos jours !

Le problème est que l’absence réelle de cause rend les symptômes difficiles à reconnaître

Quelles sont les trois phases de l’érotomanie ?

Les symptômes de cette maladie sont présents dans toutes les phases.

Quand ce délire passionnel apparaît, on pense d’abord à un engouement.

On se dit simplement que la personne est tombée follement amoureuse, mais qu’elle va se calmer.

Après tout, il arrive à tout le monde de vivre un amour non réciproque.

Pourtant, l’érotomanie va bien plus loin, car c’est un trouble psychique.

D’ailleurs, elle se développe en trois phases.

Un épisode érotomaniaque suit toujours le même schéma : espoir, dépit et rancune.

Les symptômes sont reconnaissables si vous les connaissez à l’avance.

Ces trois phases sont d’ailleurs ce qui permet de faire la différence entre un amour passionnel et l’érotomanie.

1. L’espoir faire vivre le délire passionnel

La personne aimée dit ou fait quelque chose qui déclenche une forme d’espoir chez la personne érotomane.

Elle ne pense rien de mal et elle ne pense très certainement pas qu’elle envoie des signaux.

Malgré tout, cela donne à l’érotomane l’affirmation nécessaire que la personne qu’il ou elle adore essaie de le ou la faire réagir.

C’est le début de l’amour illusoire !

Les symptômes sont généralement l’obsession et la recherche d’attention.

L’érotomane s’imagine des situations qui n’existent pas, ce qui mène forcément au point suivant.

2. Le dépit de ne pas être aimé(e)

Malgré tous ses efforts, l’érotomane n’obtient pas l’amour qu’il ou elle cherche.

Le ou la malade psychique envoie des messages, des cadeaux et essaie d’attirer l’attention de l’être aimé par tous les moyens possibles.

Mais rien ne se passe !

Au contraire, l’objet de son affection semble même dégoûté(e) par lui ou elle.

Tôt ou tard, la personne aimée va prononcer les mots fatidiques qui vont briser tous les espoirs.

Je ne suis pas intéressé(e) !

C’est le dépit total !

Les symptômes sont généralement l’anxiété et l’isolement.

3. La rancune entre en jeu

C’est à ce stade que l’érotomane peut devenir dangereux !

Malgré tous ses efforts, il ou elle n’obtient rien de la personne qu’il ou elle aime.

Alors, la personne érotomane devient jalouse de tous ceux qui partagent la vie de l’individu qui l’obsède.

Puis, il ou elle veut se venger de la souffrance qu’il ou elle ressent.

Même si l’autre n’y est pour rien !

La violence et le harcèlement commencent : ce sont les symptômes principaux.

Ces trois phases de la pathologie peuvent indiquer le degré de la maladie.

Quels sont les symptômes de l’érotomanie ?

Le symptôme principal de l’érotomanie est bien évidemment la croyance délirante et persistante que quelqu’un est amoureux de vous.

Cette conviction pousse la personne délirante à agir de manière complètement excessive.

En effet, une personne qui souffre d’érotomanie a le besoin constant d’établir un contact avec l’objet de son affection par le biais de l’espionnage, la communication écrite et toute autre forme de harcèlement.

Ce besoin incontrôlable de communication est souvent accompagné de la croyance, ou plutôt de la certitude dans ce cas, que la personne qui est l’objet de l’affection répond de manière affirmative à ces avances.

La personne délirante est alors convaincue que l’individu qui l’obsède lui envoie des messages secrets et personnels qui prouve qu’il ou elle ressent la même chose.

Et même si la personne en question affirme haut et fort qu’elle n’est pas intéressée, l’érotomane voit paradoxalement cela comme un défi.

Il ou elle pense que c’est une façon pour l’objet de son affection de vérifier si les sentiments sont bel et bien réels.

Malheureusement, l’érotomanie peut aller très loin et ses symptômes peuvent être dangereux.

D’ailleurs, le syndrome de Clérambault est à l’origine de nombreux cas de violences ou pire !

En effet, l’érotomane peut être un danger pour l’objet de son affection.

Vous avez sûrement déjà entendu parler des personnes qui portent plainte car quelqu’un les harcèle.

Vous avez sûrement déjà entendu parler des personnes qui portent plainte, car quelqu’un les harcèle.

Puis, du jour au lendemain, elles rencontrent une fin tragique.

Pourquoi ?

Parce que, très souvent, la police sous-estime la maladie et le facteur risque.

Quelqu’un qui souffre d’érotomanie parle constamment de l’objet de son affection et est obsédé par l’idée de le ou la rencontrer.

Ainsi, on peut discerner huit symptômes principaux à l’érotomanie auxquels chacun de nous devrait faire attention :

1. Perte d’intérêt personnel et symptômes d’isolement

L’érotomane ne va plus avoir envie de faire quoi que ce soit à part parler de l’objet de son affection ou s’adonner à des activités qui lui sont liées.

Par exemple, si la personne en question adore la danse, l’érotomane va s’inscrire aux mêmes cours que lui ou elle.

Même si cela ne l’intéresse absolument pas, la personne qui souffre de délire passionnel est prête à tout pour attirer l’attention de la personne qui l’obsède.

C’est l’un des symptômes qui apparaît en premier.

2. Jalousie

L’individu qui souffre de délire passionnel va être jaloux/jalouse, car il ou elle va être persuadé(e) que l’objet de son affection est en contact avec d’autres amants et est infidèle !

Bien entendu, cet individu est en contact avec d’autres personnes.

Il ou elle est peut-être même marié(e).

D’une part, il est rare qu’il ou elle soit conscient que quelqu’un est obsédé par lui ou elle.

D’autre part, ce n’est pas vraiment son problème si quelqu’un est fou amoureux de lui ou elle, car ce n’est pas un sentiment qu’il ou elle partage.

C’est l’un des symptômes les plus faciles à reconnaitre.

3. Harcèlement public et symptômes obsessionnels

Suivre et espionner l’objet de son affection est l’activité préférée de l’érotomane et cela peut même le ou la mener à avoir des problèmes avec la police.

Un délire érotomaniaque enlève tout sens de respect et des limites.

En effet, la personne érotomane ne se rend souvent pas compte que son comportement est inapproprié.

Il ou elle est bloqué(e) dans cette passion et ne peut pas en sortir.

C’est l’un des symptômes les plus dangereux.

4. Communication écrite omniprésente

 

Une personne érotomane ne va pas pouvoir s’empêcher d’écrire des lettres ou des mails à l’objet de son affection et, d’ailleurs, il ou elle va même lui offrir de nombreux cadeaux dans l’espoir d’attirer son attention.

S’il ou elle est introverti(e), il ou elle ne va pas avouer que ces messages ou ces cadeaux viennent de lui ou elle.

Ainsi, la personne qui fait l’objet de cette passion pense qu’elle a un(e) admirateur/admiratrice secret/secrète.

Et tout va bien si cela s’arrête là !

Mais c’est rarement le cas !

C’est l’un des symptômes qui mènent à la violence.

5. Communication orale obsessionnelle

La personne qui souffre de délire érotomaniaque va appeler la personne aimée, jour et nuit, car il ou elle a besoin d’établir un véritable contact avec cette personne.

Si c’est une connaissance, cela ne paraîtra pas étrange.

Si c’est un(e) ami(e), cela semblera même normal.

Mais si c’est un(e) collègue ou un(e) inconnu(e), cela virera au harcèlement.

Ce qui mettra la personne aimée dans une situation bizarre, voire dangereuse.

C’est aussi l’un des symptômes qui mènent à la violence.

6. Consommation médiatique

Si l’objet de l’affection est une célébrité ou une personnalité publique, l’érotomane va obsessivement suivre toutes les publications qui sont liées à cette personne.

En effet, le pouvoir de cette pathologie est puissant.

Ainsi, la personne touchée pourrait penser que la personnalité lui envoie des messages secrets à travers sa musique ou ses films.

Si vous remarquez ce genre de symptôme, il faut tout de suite demander une prise en charge.

C’est l’un des symptômes qui se transforment en obsession.

7. Communication secrète

On en arrive donc au point logique suivant de cette pathologie.

La personne qui souffre d’érotomanie va être convaincue que l’objet de son affection lui envoie des signaux secrets par le biais de regards brefs échangés, gestes, messages codés, informations, films ou réseaux sociaux.

Et cela ne concerne pas seulement les célébrités.

Par exemple, si l’érotomane sort avec un groupe d’amis, dont fait partie la personne adorée, il ou elle peut penser que chaque geste de cette personne est une indication de son amour partagé.

La personne érotomane chercher des signes de partout et les trouve !

Même s’ils n’existent pas !

C’est aussi un des symptômes qui devient une obsession.

8. Plans élaborés

L’érotomane va inventer des situations délirantes dans lesquelles, c’est l’objet de son affection qui le ou la poursuit, harcèle ou essaie de rentrer en contact avec lui ou elle.

C’est, par exemple, le genre de situation où il ou elle s’envoie des fleurs avec un message.

Ou bien, il ou elle s’imagine que quelqu’un est entré chez lui ou elle, car certains objets ne sont pas à leur place habituelle.

Bien entendu, ce symptôme est aussi dangereux et il nécessite une prise en charge rapide.

C’est l’un des symptômes les plus difficiles à reconnaître, car il est souvent caché.

Comment guérir de l’érotomanie ?

Une fois que vous avez reconnu les symptômes, il faut agir !

Avant de pouvoir guérir l’érotomanie, un diagnostic doit être posé.

Mais comme c’est un trouble très rare, cela peut être difficile.

Surtout que beaucoup ne connaissent pas les symptômes associés.

Donc, avant toute chose, pour affirmer avec certitude qu’une personne souffre de cette maladie, les quatre conditions suivantes doivent être réunies :

1. La désillusion doit être présente seulement dans l’aspect affectif de la vie de la personne.

Tous les autres domaines de la vie de cet individu (professionnel, familial, amical) doivent être fonctionnels et « normaux ».

2. La description de la désillusion liée à l’érotomanie doit inclure des événements, même si ceux-ci ne se sont pas produits dans la vraie vie.

3. D’autres troubles comme la schizophrénie, le changement d’humeur soudain et l’intoxication doivent être présents.

4. Si la personne qui souffre d’érotomanie connaît également des épisodes de dépression ou de comportements maniaques, la durée de la désillusion doit être supérieure à celle de ces épisodes.

Une fois que le diagnostic a été posé, le traitement des symptômes et de la maladie peut commencer.

Mais la guérison va être longue puisque la personne qui souffre d’érotomanie n’est pas capable de voir que ses croyances sont infondées.

D’ailleurs, très peu de gens qui souffrent de ce trouble font appel à un spécialiste.

De manière générale, c’est un proche ou le tribunal (si l’érotomane est allé(e) trop loin dans sa poursuite de l’affection) qui l’incite.

Et, c’est pour ça qu’il peut être très difficile de suivre une thérapie avec succès.

Les symptômes sont malicieusement entremêlés les uns aux autres.

Le traitement doit donc être spécifique à chaque cas.

Mais les priorités restent toujours les mêmes : maintenir le fonctionnement social, minimiser les risques de comportements à risque et améliorer la qualité de vie de la personne qui souffre d’érotomanie.

Selon les causes de la maladie et son implication dans la vie de la personne touchée par ce trouble, des médicaments, une thérapie ou l’hospitalisation peuvent être prescrits.

Le but de la thérapie est de faire comprendre à l’érotomane ce qu’est sa maladie et de le ou la pousser à accepter un traitement, de son plein gré.

Il ou elle doit reconnaître ses symptômes.

Si cet individu se montre être un danger pour lui-même ou pour l’objet de son affection, il va être hospitalisé.

Des médicaments comme les antipsychotiques peuvent être prescrits pour gérer les symptômes.

Et lorsque le traitement est mis en place, les médecins font toujours attention à inclure les réseaux sociaux et leur influence sur le comportement problématique de la personne qui souffre d’érotomanie.

Que faire si vous avez affaire à un(e) érotomane ?

Si vous reconnaissez ces symptômes chez une personne de votre entourage, prenez garde !

L’érotomanie est un trouble de la sexualité risqué pour la personne qui est l’objet de l’amour obsessionnel.

Comme c’est une maladie pathologique, si vous êtes la victime d’un individu qui souffre d’érotomanie, vous ne devez pas tenter d’y faire face seul(e).

Vous devez vous entourer des bonnes personnes et ne jamais entrer dans un débat face-à-face avec l’érotomane.

En premier lieu, vous pouvez faire appel à la justice pour vous protéger et limiter les débordements violents et le harcèlement.

Ensuite, vous pouvez essayer de diriger l’érotomane vers des services de santé psychiatrique compétents.

En indiquant que vous avez remarqué des symptômes inquiétants.

Quoi que vous décidiez de faire, n’essayez pas de le ou la raisonner.

Vous perdrez votre temps et vos nerfs.

De plus, vous lui donnerez des signes positifs (du moins, dans son esprit), car vous entamez une conversation avec lui ou elle.

N’oubliez jamais que la personne qui souffre d’érotomanie voit chaque type de communication ou de contact comme un signe d’approbation de votre part.

Vous êtes l’objet de son affection, donc tout ce que vous faites est pour lui ou elle est une preuve que vous êtes amoureux(se).

Gardez donc vos distances et faites appel aux gens compétents.

Vous ne pouvez pas contrôler les symptômes de l’érotomanie d’une autre personne.

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Pourquoi vous et pas un(e) autre ?

Vous ne pourrez jamais répondre à cette question !

Vous n’avez rien fait pour attirer les foudres d’un(e) érotomane.

En effet, cette pathologie est une illusion.

C’est un amour obsessionnel et un trouble sexuel qui n’est pas lié au comportement de la cible.

Quoi que vous auriez fait ou dit, vous n’auriez pas pu changer le résultat.

Après tout, les soi-disant signes d’amour que la personne érotomane a perçu sont inexistants.

Peut-être que vous vous êtes assis(e) à côté de lui ou elle dans le bus, car c’était la seule place libre.

Peut-être que vous lui avez dit “merci” quand il ou elle vous a tenu la porte du supermarché.

Ce sont des gestes anodins pour vous, mais c’est une preuve d’amour pour la personne qui souffre de ce trouble.

Alors, vous n’avez aucune raison de vous sentir coupable !
Rien n’aurait pu changer cette situation !

Continuez simplement à être vous-même et ne pensez plus à ce que vous avez traversé à cause de l’érotomane.

Une thérapie pourrait vous aider à comprendre et à accepter toute cette folle situation.

Conclusion

L’amour est en quelque sorte intouchable.

En tout cas, elle est surtout au-dessus des critiques d’être excessivement mauvaise.

L’opinion unanime est plutôt que notre société souffre d’un manque d’amour véritable et beaucoup ne sont plus disposés à travailler intensément pour l’amour ou à se battre pour lui afin de sauver l’amour.

Mais trop peut aussi causer un problème qui peut se transformer en une soi-disant dépendance à l’amour.

Après tout, la dose fait le poison de tout.

Une chose est sûre : quand l’amour devient torture, quelque chose ne va pas.

Si les symptômes sont douloureux, ce n’est jamais bon signe !

Mais comment reconnaître l’obsession de l’amour ?
Les mascarades amoureuses accros aux multiples visages : servitude, abnégation malsaine, irrésistiblement épris pendant une durée inappropriée, codépendance, idolâtrie inaccessible et dépendance sexuelle.

Cela donne souvent naissance à l’érotomanie.

Ce trouble passionnel sexuel peut devenir grave s’il n’est pas traité et si les symptômes ne sont pas reconnus à temps.

Érotomanie : 8 symptômes qui prouvent que vous êtes érotomane

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