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Même si nous n’étions pas faits l’un pour l’autre, tu me manques beaucoup…

Même si nous n’étions pas faits l’un pour l’autre, tu me manques beaucoup…

Un jour, nous étions obsédés l’un par l’autre et le lendemain, c’était comme si nous étions devenus de parfaits étrangers.

Tout le monde a dit que c’était parce que nous n’étions plus dans cette étape de la lune de miel, cet instant d’euphorie ; ce beau moment, plus ou moins long dans chaque relation où nous sommes aveuglés ou engourdis par l’autre, pardonnant ses défauts ou allant même jusqu’à les trouver mignons.

Moi, j’étais complètement sous le charme de chaque particule de ton être, nageant dans la mer de cet amour qui, jour après jour, me semblait être le premier. Avec excitation et anticipant de beaux moments, je t’ai exposé mon vrai moi.

Mais après un certain temps, ça a commencé à se ternir

Comme ça, sans prévenir.

J’ai commencé à remarquer des choses que je n’aimais pas chez toi, à remettre en question mon affection pour toi et à sentir la distance s’installer entre nous.

Tout le monde nous a promis que c’était normal et que nous allions dépasser cela.

Et même si je sais que c’est vrai pour certaines relations, je savais aussi que ça n’allait pas être le cas pour nous.

Le drame, l’euphorie et le désespoir de notre amour infantile ont négligé une vérité simple, mais universelle : la tendance mathématique de deux personnes à se trouver qui ne sont peut-être pas destinées l’une à l’autre.

Pour nous, la réponse ne pouvait être trouvée dans un flou d’émotions. L’écart entre nous pouvait être calculé.

Toi et moi, nous voyagions simplement perpendiculairement

Nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes aimés et nous sommes tombés amoureux à grande vitesse.

Nous nous sommes trouvés, impatients, follement attirés tels les côtés opposés d’un aimant : tu étais artiste et j’étais mathématicienne.

J’ai été attirée par ta capacité à tirer de belles et profondes conclusions sur le monde alors que toi, tu étais fasciné par mes tentatives de te convaincre que l’art existait aussi au travers des nombres.

Et plus nous apprenions l’un de l’autre, plus l’envie de nous rejoindre en un point unique se faisait sentir.

C’en est devenu une obsession. Et puis un jour, l’inertie de nos vies nous a obligé à entrer en collision. De manière parfaitement perpendiculaire.

Mais nous ne le savions pas encore.

J’avais l’impression de vivre la perfection dans sa forme la plus pure et la plus précise.

Un type de perfection que je pensais ne pouvoir exister qu’en mathématiques. Tout ce qui te concernait me paraissait si essentiel.

La façon dont je me sentais quand tu m’embrassais le cou, me préparais un petit déjeuner ou me tenais la main. C’étaient des choses qui n’avaient de valeur que parce qu’elles venaient de toi.

Et je n’ai trouvé aucune réponse pour cette perfection nulle part. Je n’ai pas pu définir le moment où toutes les composantes de nos êtres, pendant un instant, se sont alignées de manière exacte.

Cette perfection, je ne l’avais jamais connue auparavant.

Mais les lignes perpendiculaires s’étendent à l’infini

Elles ne se rencontreront qu’une seule fois, dans un moment parfait, suspendu dans le temps, où je me suis sentie sûre de toi, de moi, de tout.

Mais ce moment a disparu.

Soudain, quand tu m’embrassais le cou, c’était parce que tu devais le faire ; quand tu préparais le petit déjeuner, c’était une routine. Et quand tu as tenu ma main, c’était parce que j’avais attrapé la tienne.

Ces moments précieux étaient en train de ne devenir que des souvenirs, alors que nous continuions à voyager le long de nos trajectoires d’origine, en nous repoussant avec la précision qui nous réunissait.

Les pôles de l’aimant se sont inversés : plus nous passions du temps ensemble, plus je réalisais que nous nous repoussions, à une vitesse exponentielle. J’ai réalisé que nous n’allions pas passer le restant de notre vie l’un à côté de l’autre.

J’ai pensé que tu étais une exception à mes méthodes de calcul… Mais tu étais un problème mathématique que je ne pouvais pas résoudre

Cela arrive, même aux meilleur(e)s.

Certaines choses ne fonctionnent pas, même si vous croyez sans réserve qu’elles le devraient.

Les souvenirs m’embrasent

Et à présent, tout dans mes os me hurle qu’il y a peut-être une autre chance pour nous là-bas. Faire de ces deux perpendiculaires une seule droite.

J’adorerais m’accrocher à cette idée et si je le faisais, je pourrais à nouveau te contacter, sans hésitation, pour donner vie à cette chance.

Pourtant, la tristesse et la finalité de tout reposent sur ma poitrine comme un poids : nous ne sommes pas destinés l’un à l’autre, j’en suis consciente.

Il ne me reste que les souvenirs.

Les souvenirs ont une façon particulière de nous faire sourire ou de nous faire mal et bien que la plupart des gens disent qu’ils devraient nous faire sourire, je crains que mes souvenirs de toi, de nous, ne continuent à me torturer pour longtemps.

Parce que tu vois, j’ai l’impression que tu vas me manquer éternellement.

Comment tout a commencé entre nous… Comment notre histoire raconte la rencontre entre deux parfaits inconnus, dont la connexion était complète et indéniablement forte.

Cela va me manquer d’apprendre à te connaître, un jour à la fois, tout en ayant cette sensation grandissante que nous étions deux âmes qui devaient être ensemble.

Toutes nos premières fois, aussi : notre premier rendez-vous, notre premier voyage hors de la ville, notre première caresse et notre premier baiser.

Mes sens sont en deuil

Tes yeux noisette me manqueront, car en eux mon monde ne vacillait plus. Et plus que la couleur, l’amour que je ressentais à travers eux me manquera. De sentir que tout ce que tu disais ou faisais était vrai, parce que je le voyais dans tes iris.

Ils me manqueront au réveil, sachant qu’il n’y a pas d’autres yeux au monde que je préfèrerais voir tous les matins ; mais je retrouverai la vue… Un jour ou l’autre…

Ton odeur…

Car dans cette intimité que nous avons partagée, c’est mon souvenir le plus vivace. L’odeur de ton parfum, mais aussi de ton corps.

Et puis ce temps passé, ces heures, enfouie dans ton cou, me demandant comment la vie pourrait être plus belle. Ce sentiment d’appartenance et de t’appartenir.

Ton odeur me manquera ; mais je continuerai à respirer… Un jour ou l’autre…

Tes mains…

Car lorsque nos doigts s’entrelaçaient, je savais que j’étais en sécurité. La façon dont nos doigts se frottaient en silence, à la recherche les uns des autres, me manquera.

Cette façon dont nous nous tenions par la main, la chaleur de ta paume contre ma paume, pâle et toujours froide me manquera.

Ton contact me manquera ; mais je retrouverai la chaleur d’une autre main que la tienne… Un jour ou l’autre…

Les premiers moments, mais aussi les derniers

Même si cela me fait mal d’y penser, les derniers moments que nous avons passés ensemble auront, eux aussi, une place à part dans mon coeur.

À cette époque, je ne savais pas que ces moments créeraient nos derniers souvenirs, car si je l’avais su, peut-être en aurais-je profité plus ?

J’aurais dû tenir ta main plus longtemps, t’aimer plus fort cette nuit-là et te serrer un peu plus fort.

Ton amour me manquera, c’est sûr.

Jadis chaleureux, débordant, durable. Cet amour qui m’a appris combien je suis capable d’aimer, un amour qui donnait et la plupart du temps de manière désintéressée, un amour qui était vrai et patient.

Ton amour m’a fait sentir comme étant la personne la plus heureuse du monde. Il m’a fait savoir que le bonheur est possible.

Tu m’as fait réaliser que je suis une personne magnifique, qui mérite un amour qui dure et un amour qui ne part jamais.

Ton amour me manquera toujours, car tu étais ma maison ; mais j’en bâtirai une nouvelle, forte de cette expérience… Un jour ou l’autre…

Ce n’était peut-être pas notre heure

Peut-être, malheureusement, que nous ne voulions pas vraiment être ensemble.

Ou peut-être, juste peut-être, que notre histoire n’était tout simplement pas en phase avec l’Univers, dans cette vie.

Et peut-être que ce n’est pas grave. Après tout, toi et moi avons toujours été le Yin et le Yang, la pop et l’indie, le lever et le coucher de soleil…

Nous étions deux personnes différentes qui avaient appris à embrasser leurs différences. Nous étions des morceaux de deux puzzles différents.

Et nous devons réaliser que parfois, lorsque deux pièces se rejoignent, il n’y a que deux choses qui peuvent arriver : elles s’adaptent parfaitement ou elles s’adaptent maladroitement, finissant par se détacher ou se plier.

J’ai toujours espéré trouver un moyen d’épouser nos formes, j’ai pensé que si nous essayions juste assez fort, cela allait fonctionner.

Si nous nous battions assez fort, si nous donnions tout ce que nous avions.

Je veux dire, l’Univers n’honore-t-il pas les gens qui sont prêts à risquer autant pour être ensemble ? Non, l’Univers n’honore pas les mariages forcés…

Pas un jour ne passera sans que je pense à toi

Bien que nous ne soyons plus ensemble, tu occuperas toujours une place à part dans mon cœur.

Je ne t’oublierai jamais. Même si les souvenirs me font mal, je ne veux pas t’oublier.

Tu étais un amour « spécial ». Nous avions quelque chose de spécial.

Mais quelque part en cours de route, nous avons commencé à douter de notre avenir. Les disputes ont commencé, elles étaient de plus en plus fréquentes.

Nous avons essayé de raviver la flamme, mais seul l’incendie s’est présenté, brutal et sauvage.

Je suis désolée pour cette fin.

Je mentirais si je disais que tu ne me manques pas, mais tu sais, tu m’as manqué depuis bien plus longtemps que la fin de notre histoire. Quand j’ai remarqué que tu me prêtais moins attention, quand notre moment préféré du samedi a été décalé au dimanche, puis quand il a disparu, tout simplement.

L’éclat particulier de ton rire qui ne résonnait plus qu’avec les autres.

C’est là que tout a pris feu

Quand tu as commencé à me manquer, alors que tu étais présent physiquement à mes côtés.

Mais tu m’as aimée, je le sais. D’une manière nouvelle et rafraîchissante pour la férue des nombres que je suis.

Tu es devenu une partie de moi et tu seras toujours bien plus que tous les hommes que je rencontrerai.

J’ai grandi dans l’amour que tu m’as donné et je t’en serai éternellement reconnaissante.

Tu es l’amour de ma vie et le sera toujours.

Mais l’amour ne vainc pas tout et la réalité cruelle, c’est que tout le monde ne peut pas garder auprès de soi l’amour de sa vie.

J’ai dû abandonner parce que nous n’étions plus satisfaits l’un de l’autre.

Nous étouffions et nous nous blessions mutuellement, nous n’avions plus vraiment le choix.

Les larmes devaient cesser et je ne voulais pas en arriver au point où nous nous serions mis à nous détester.

Ton importance dans ma vie ne changera jamais

Merci pour les souvenirs, les bons et les mauvais, je les chérirai longtemps. Longtemps, car je sais que de plus en plus, au fil du temps, je me rendrai compte de la chance que j’ai eue de t’avoir rencontré.

Après tout, tout le monde ne rencontre pas l’amour de sa vie et j’ai la certitude dans mon cœur et mon esprit que tu étais à moi.

Je suis désolée pour toutes les fois où je t’ai blessé et fait du mal. Je le suis vraiment et je te souhaite tout le meilleur du monde à présent.

J’apprendrai à vivre avec la perte de cet amour, le plus beau et le plus passionné que j’ai jamais vécu.

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