Hier, ils étaient encore mignons et petits, maintenant, ce sont des adolescents colériques.
Soutenir les adolescents est un défi pour de nombreux parents.
Faire des erreurs est autorisé dans cette phase – des deux côtés.
Parce que si les jeunes ne font que ce qu’ils sont censés faire, nous sommes condamnés.
C’est comme s’ils ne faisaient que creuser dans le bac à sable.
Maintenant, les enfants sont coincés devant l’ordinateur.
Si quelque chose sort d’eux, ce sont des insultes.
Et les tâches ménagères ont tendance à être ignorées.
Lorsque leurs enfants atteignent la puberté, les parents se demandent souvent ce qu’ils ont fait de mal et s’ils peuvent compenser les omissions de leur éducation.
Voici les erreurs à éviter durant la puberté de vos enfants :
1. Les parents ne devraient pas revenir sur leurs propres erreurs.
La puberté est une période intermédiaire au cours de laquelle les jeunes se réorientent.
Il serait utile que les parents suivent cette voie et se remettent en question.
Les adolescents ne veulent pas de quelqu’un qui fait tout correctement à cent pour cent.
Si votre enfant se retire, devient agressif, vole ou prend de la drogue, cela peut alimenter le doute de soi.
Une mauvaise hygiène ou une hygiène exagérée, la rébellion, le manque de ponctualité, la consommation d’alcool ou les mauvaises notes scolaires – tout cela accompagne la puberté.
En effet, le franchissement des frontières fait partie de cette phase.
Cela a à voir avec les développements physiologiques du cerveau que les jeunes travaillent davantage par l’agressivité.
2. Souvenez-vous de votre propre adolescence !
C’est la meilleure façon de comprendre que chacun de nous est passé par cette même étape capricieuse et difficile.
Ainsi, les parents doivent apprendre à ne rien prendre personnellement.
C’est la chose la plus importante et en même temps la chose la plus difficile de toutes.
En cas d’insultes, c’est important de dire avant tout : « on ne se parle pas comme ça ».
Il est inutile de clarifier les situations difficiles immédiatement, mais plutôt calmement, par exemple lors d’une promenade.
Il est important de ne pas s’impliquer dans des bagarres.
L’hostilité engendre l’hostilité :
3. Il n’est jamais trop tard pour l’éducation !
Les parents doivent éviter les reproches, les interrogatoires et les sermons.
Par contre, trois autres termes sont importants : confiance, exemple et compréhension.
La puberté n’est pas une période tardive pour l’éducation, il faut rester optimiste à ce sujet.
Il est tout à fait possible de parler ouvertement avec l’enfant des omissions – sans présenter les problèmes comme un reproche.
Par exemple, un parent pourrait dire : « Je ne t’ai pas suffisamment impliqué dans les tâches ménagères auparavant, mais il y a beaucoup à faire. Que pourrais-tu assumer ? ».
Cela montre aux enfants qu’ils ont une place importante dans la structure familiale.
De telles conversations ne rencontrent pas forcément une joie pure chez les jeunes, mais il est important de réaliser que c’est la bonne chose à faire – et de s’y tenir.
4. Choisissez la négociation plutôt que les ordres.
À mesure que les enfants grandissent, les parents doivent négocier au lieu de simplement dicter les choses.
Il faut s’asseoir avec tous les membres de la famille une fois par semaine et discuter des tâches.
Il est important que les parents ne se laissent pas tromper par de vagues concessions.
Vous devez dire très clairement à l’enfant : « nous sommes une famille et vous devez vous impliquer. »
Dans des réunions familiales comme celle-ci, les jeunes apprennent à échanger au lieu de simplement faire des grimaces et de s’enfuir.
Les parents doivent aussi voir les côtés positifs de la puberté.
Trop souvent, cette phase n’est dépeinte que sous un jour négatif.
Or, c’est une période très amusante, créative et nécessaire dans laquelle les talents se développent.
Ces talents sont importants pour la société.
La puberté est un processus difficile non seulement pour les enfants, mais aussi pour les parents.
Enfin, ils doivent apprendre qu’ils ne peuvent plus protéger les enfants de tout.
Les parents ne peuvent plus déterminer la vie de leurs enfants, ils ne peuvent être que des compagnons.
Ceci est associé à la tristesse, à la douleur et à une grande insécurité.
Oui, la puberté est le moment où vous dites « au revoir ».
Accepter la tristesse que l’enfance se termine est un premier pas.
Ainsi, chaque parent doit s’impliquer dans la puberté, car ce ne sont pas les techniques pédagogiques qui sont décisives, mais l’attitude de base.
L’attitude est la suivante : « quelque chose peut arriver que je ne veux pas et ce n’est pas grave. »
Même si l’enfant devient alcoolique ou prend de la drogue : c’est toujours votre propre enfant.
La tâche des parents est de lui donner un cadre dans lequel il se sente en sécurité et accepté.
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