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Philophobie : Identifier et combattre sa peur d’être amoureux/se

Philophobie : Identifier et combattre sa peur d’être amoureux/se

Est-ce que vous avez déjà entendu parler de la philophobie ?

Ariane Calvo est une psychologue qui a longuement étudié ce sujet.

Aujourd’hui, je vais vous l’expliquer de mon point de vue.

On cherche tous l’amour.

Ce sentiment de plénitude que l’on ressent lorsque l’on aime quelqu’un inconditionnellement et lorsque cette personne nous aime en retour.

C’est peut-être la plus belle émotion qui existe.

Pourtant, être amoureux/amoureuse peut aussi être très effrayant.

Pour certains, c’est seulement de l’appréhension alors que pour d’autres, c’est une véritable peur : la philophobie.

Pour faire simple, la philophobie, c’est la peur de l’amour ou plus précisément la peur d’être émotionnellement proche de quelqu’un.

Comme toutes les phobies sociales, elle se présente sous la forme de symptômes spécifiques qui peuvent sérieusement impacter la vie de la personne qui en souffre.

Très souvent, on peut entendre quelqu’un dire « Tout allait bien puis tout d’un coup, il ou elle est parti(e) ».

C’est l’exemple parfait d’une personne qui souffre de philophobie.

La relation fonctionnait tant que les sentiments n’étaient pas trop présents.

Mais dès que l’amour s’est installé, il ou elle a pris la fuite, car il ou elle ne souhaite pas s’engager sérieusement.

La peur de l’abandon et d’avoir le cœur brisé ont eu raison de cette personne.

Donc, au lieu de laisser une chance à son ou sa partenaire, cette personne l’a quitté(e) parce qu’elle anticipe déjà la fin de la relation et les conséquences douloureuses d’une rupture.

Dans son esprit, l’amour et l’attachement ne sont liés qu’à des émotions négatives.

Pour être sûr(e) de vivre heureux/heureuse, il ou elle choisit donc le détachement émotionnel, car pour cette personne, c’est la seule façon de se protéger (du moins, dans son esprit).

Mais comment naît la philophobie, quels en sont les symptômes et comment la guérit-on ?

Si votre partenaire ou vous souffrez de ce trouble, lisez le texte suivant afin d’en connaître les origines et les meilleures méthodes pour le combattre.

Même si vous croyez que vous ne pouvez pas apprendre à gérer votre peur pour vivre une vie plus positive et heureuse, vous devez savoir que comme n’importe quelle autre phobie, la philophobie peut se combattre.

Tout repose sur votre volonté d’apprendre à aimer sans avoir peur des conséquences négatives et sur votre capacité à déterminer les origines de votre trouble.

Il n’y a aucune honte à demander de l’aide, surtout si vous avez l’impression que la philophobie commence à contrôler la totalité de votre vie.

À lire aussi : Thanatophobie : vous avez besoin d’un homme qui a peur de vous perdre

Qu’est-ce qui est à l’origine de la philophobie ?

Plusieurs choses se cachent derrière cette phobie.

La rigidité des normes familiales strictes, par exemple, crée un sentiment d’infériorité.

Les personnes qui souffrent de philophobie pensent qu’en tombant amoureuses, elles deviennent faibles, donc pour éviter de perdre le contrôle, elles s’éloignent de tous les gens qui peuvent engendrer chez elles des émotions intimes.

De la même manière, la perte d’un proche ou le divorce des parents peuvent laisser des blessures intérieures profondes.

Ainsi, pour éviter de ressentir de nouveau la douleur associée à l’éloignement ou à la disparition de quelqu’un proche, ces personnes adoptent une attitude froide et distante.

Enfin, la société actuelle a également un rôle important dans le développement de ce trouble.

En effet, on habite dans l’ère des caprices.

On veut ci, on veut ça…

Puis dès qu’on l’obtient, on souhaite passer à autre chose.

Ainsi, comme la technologie facilite les rencontres, les gens ne veulent plus perdre du temps à développer des connexions intimes et préfèrent l’excitation des nouvelles rencontres et de la « chasse ».

Mais dès que des liens plus romantiques commencent à s’installer, ils prennent la fuite.

Même si certaines femmes ont peur de tomber amoureuses, la philophobie concerne surtout les hommes.

En tout cas, dans sa majeure partie.

Si les démonstrations d’affection publiques sont acceptées de la part de la gent féminine, elles se pardonnent moins facilement aux hommes, car, en tant que sexe fort, ils ne devraient pas faire étalage de leurs émotions.

Ainsi, ces messieurs, pour éviter de tomber amoureux, utilisent et abusent de tous les subterfuges possibles afin d’éviter ce sentiment.

Ils trouvent notamment tous les défauts possibles à leur compagne et se font un devoir d’en faire part aux autres.

C’est leur mode de protection.

Philophobie et trouble de l’attachement

Ariane Calvo a également beaucoup parlé du lien qui existe entre la philophobie et le lien d’attachement.

Bien entendu, vous connaissez les quatre styles d’attachement :

  • Anxieux
  • Évitant
  • Désorganisé
  • Sécure

Votre style d’attachement remonte à votre enfance.

Quel genre de relation avez-vous eu avec vos parents ?

Si vos parents répondaient à vos besoins et vous offraient l’amour dont vous aviez besoin, vous avez développé un lien d’attachement sain.

C’est ce que l’on appelle le style d’attachement sécure.

Mais si vos parents ignoraient vos besoins et vous négligeaient, vous avez développé un lien d’attachement malsain.

C’est-à-dire que vous avez un style d’attachement anxieux, évitant ou désorganisé.

Et ce style d’attachement est à l’origine du développement de la philophobie.

  • Attachement anxieux et peur d’aimer

Les contacts émotionnels et physiques étaient absents dans votre enfance.

Alors, dorénavant, vous avez une dépendance affective profonde vis-à-vis de votre partenaire.

Chacune de vos relations a d’ailleurs échoué à cause de votre besoin inconsidérable d’affection.

Et vous avez fini avec le coeur brisé de nombreuses fois.

Maintenant, vous savez à quel point vous souffrez après une rupture, alors vous finissez par fuir les relations amoureuses.

Dans ce cas, la philophobie a pour but de vous protéger.

  • Attachement évitant et philophobie

Vos parents étaient complètement instables et incohérents dans leur expression d’amour.

Vous ne saviez jamais si vous deviez avoir peur d’eux ou s’ils allaient vous réconforter.

Alors, vous avez fini par développer une faible estime de soi.

Dorénavant, vous faites de votre mieux pour contrôler vos émotions et même les fuir.

Enfant, vous avez compris qu’il valait mieux se débrouiller seul(e) que de dépendre de personnes sur qui vous ne pouvez pas compter.

Alors, votre peur d’aimer a donné naissance à la philophobie.

Dès que vous sentez que vous vous rapprochez trop d’une personne, vous prenez la fuite.

Votre santé mentale est constamment bancale et vous êtes sujet(te) à la dépression.

  • Attachement désorganisé et souffrance

Comme son nom l’indique, ce style d’attachement pioche un peu dans les trois autres.

Chaque jour, quelque chose de nouveau vous tracasse.

La dissociation et les phobies sont courantes avec ce genre de lien d’attachement.

À cause de vos parents, vous souffrez d’anxiété et d’instabilité.

Cela vous empêche d’avoir des relations stables qui fonctionnent.

La philophobie, dans ce cas, est une façon de vous cacher.

Vous essayez de protéger votre santé mentale, mais en même temps, vous cherchez la proximité.

Quels sont les symptômes de la philophobie ?

Ce trouble irrationnel pousse les gens à être tétanisés devant l’idée même de tomber amoureux.

Au-delà de l’appréhension normale que ressentent la plupart des personnes qui ont connu des déceptions amoureuses ou qui ont vu les conséquences d’une relation toxique, cette phobie est incontrôlable et handicape la vie sociale des gens qui en souffrent.

La simple pensée de tomber amoureux peut entraîner chez ces gens des réactions physiques et émotionnelles.

Même si les symptômes peuvent varier d’une personne à l’autre, de manière générale cette phobie entraîne un intense sentiment de panique, des problèmes respiratoires et la nausée.

Les gens touchés par ce trouble transpirent beaucoup et ont du mal à fonctionner normalement.

Ils cherchent d’ailleurs également à éviter toutes les situations d’intimité.

Même si les personnes qui souffrent de philophobie sont conscientes du fait que c’est une peur irrationnelle, elles ne peuvent pas contrôler leurs réactions.

La fuite est leur mode de défense !

Si le sexe est acceptable pour elles, l’amour ne l’est pas.

D’ailleurs, ces personnes ont très souvent une vie sexuelle très active, car elles pensent que cela les empêche de créer une connexion intime avec leurs partenaires.

En toute logique, les gens qui souffrent de philophobie ne font aucun plan d’avenir avec leur conjoint(e) et ne cherchent pas à approfondir leurs relations amoureuses.

Ils restent superficiels et ne s’engagent pas beaucoup parce qu’ils sont persuadés que cela ne durera pas et donc ils cherchent à se protéger.

Si elle n’est pas traitée à temps, la philophobie peut entraîner des complications plus sérieuses comme l’isolation sociale, la dépression, l’anxiété, l’abus des substances illicites ou même le suicide.

Il est donc important de réagir dès que vous remarquez les premiers symptômes de ce trouble.

Pour votre bien-être et pour celui de vos proches, vous devez prendre votre phobie au sérieux.

Quelles sont les conséquences de la philophobie pour le/la philophobe et son/sa partenaire ?

Que ressent une personne qui tombe amoureuse ?

Elle a des papillons dans le ventre, elle devient nerveuse et elle transpire.

Beaucoup de gens comparent cela à ce que ressent un(e) philophobe quand il/elle sent les sentiments monter.

Mais ce n’est pas aussi simple.

La peur d’aimer ou de souffrir engendre bien plus de symptômes.

Et ces symptômes peuvent avoir des conséquences néfastes sur la personne en question et sur le couple.

Ainsi, la santé mentale du/de la philophobe peut être en danger.

Une relation amoureuse dans ce cas est difficile, car la philophobie est marquée par :

  • Crise d’anxiété violente
  • Crise de panique
  • Tremblements incontrôlables
  • Nausées violentes
  • Rythme cardiaque accéléré
  • Transpiration excessive

Les conséquences de la philophobie pousse la personne qui en souffre à adopter des mécanismes de défense.

Par peur du rejet et par peur d’aimer, le/la philophobe met en place des stratégies qui créent un environnement négatif pour son couple.

Mais ce n’est pas tout !

La vie sociale d’un(e) philophobe est alors mise à rude épreuve.

Ce qui est une nouvelle attaque sur sa santé mentale.

Ainsi, il ou elle a de plus en plus de mal à s’ouvrir aux autres et il ou elle se détache.

En effet, cette personne s’éloigne de tous ses proches.

En plus de cela, la personne souffrant de ce trouble cherche par tous les moyens à créer des conflits au sein de ses relations afin de pousser les gens à s’éloigner.

Ce qui est aussi un mécanisme de défense.

Vous comprenez maintenant que l’anxiété et la dépression guettent facilement.

Voilà pourquoi beaucoup de personnes qui souffrent de ce trouble optent pour une des options suivantes :

  • Hyperactivité sexuelle : elles enchaînent les relations sans signification afin d’éviter l’attachement
  • Fuite : elles refusent de s’approcher de qui que ce soit

Bien entendu, ces stratégies ne fonctionnent pas !

Ariane Calvo est une psychologue qui a expliqué ce sujet en long et en large si cela vous intéresse.

Est-ce que la philophobie devient toxique pour le couple ?

Imaginez le scénario suivant :

Une relation amoureuse se développe entre deux personnes.

L’une cherche un lien affectif profond et sécure.

Elle veut de l’amour et de l’engagement.

L’autre personne souffre de philophobie.

Elle fait tout pour éviter l’engagement.

Comment un tel couple peut-il fonctionner ?

Difficilement !

D’une part, vous avez une personne qui rêve de fonder une famille et d’être aimée.

D’un autre, vous avez une personne qui rêve simplement de prendre la fuite.

Est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?

C’est un peu la relation qu’entretiennent le chaser et le runner dans une relation de flammes jumelles.

Un partenaire passe son temps à fuir l’autre, alors que le second fait tout pour ne pas être rattrapé.

Est-ce que cela vous semble sain ?

Absolument pas !

Vous ne pouvez pas espérer construire une relation saine avec une personne qui a peur d’aimer.

Cet individu doit d’abord suivre une thérapie.

Cela peut être une thérapie cognitive ou une thérapie de désensibilisation affective.

Une relation amoureuse stable est basée sur deux partenaires qui poursuivent les mêmes objectifs, qui s’aiment sincèrement et qui travaillent main dans la main pour aller de l’avant.

Dans une relation amoureuse avec un(e) philophobe, il y a toujours un moment où cette personne prend la fuite.

Pour surmonter sa peur d’aimer, elle n’a pas vraiment le choix.

Souffrir n’est pas une option, alors cette personne préfère s’éloigner pour ne pas avoir le coeur brisé.

Ainsi, dans cette relation, plus l’amour grandit, plus la relation est saine, plus la peur prend racine.

Alors oui, la philophobie peut devenir toxique.

Particulièrement, si la personne souffrante ne dit pas la vérité.

En effet, si elle n’est pas honnête sur son absence de désir d’engagement, cela peut entraîner un cercle vicieux de narcissisme et de toxicité.

L’autre partenaire continue d’avoir l’espoir que la relation va évoluer, alors que la personne souffrant du trouble de la philophobie cherche simplement la meilleure façon d’échapper à l’amour.

La philophobie est une menace pour toutes vos relations

Ce trouble ne met pas simplement en danger votre relation amoureuse.

En effet, il devient un problème pour toutes vos relations.

Ainsi, si vous n’apprenez pas à le surmonter à temps, votre famille et vos amis vont également prendre la fuite.

Pourquoi ?

Parce que la philophobie est la peur d’être aimé.

Cela signifie, dans une certaine mesure, que vous avez également peur d’être blessé par vos proches.

Par exemple, vous finissez par vous convaincre que vos amis s’apprêtent à vous trahir.

Alors, vous n’êtes jamais complètement honnête avec eux.

Vous ne partagez pas vos secrets et vous faites toujours en sorte de garder vos distances.

Vous ne leur demandez jamais conseil pour ne pas leur donner l’impression que vous avez besoin d’eux.

Finalement, ils commencent à penser que votre amitié est unilatérale.

Ils sont sincères avec vous, ils vous tendent la main quand ils ont le sentiment que vous avez besoin de soutien et ils veulent passer du temps avec vous.

Mais vous, vous refusez cette forme d’attachement.

Vous prenez la fuite dès que vous avez l’impression que vous baissez votre garde et vous préférez vous cacher derrière des murs de protection.

Surmonter la philophobie vous aidera aussi à avoir de meilleures relations familiales

Si vous vous ouvrez à l’idée de la thérapie cognitive ou la thérapie de désensibilisation affective, vous améliorerez aussi votre vie de famille.

En effet, vous serez en mesure de faire confiance à vos parents.

N’oublions pas que la peur d’être aimé vient de l’enfance, mais cela ne signifie pas forcément que vous avez eu des parents toxiques.

Et même si c’est le cas, cela ne signifie pas que la totalité de votre famille est mauvaise.

Il est important de faire le point avec vous-même :

Quelles sont les personnes qui vous ont fait du mal ?

Quelles sont les personnes qui ont toujours été là pour vous ?

Faites la différence entre les bonnes expériences et les mauvaises.

Apprendre à ne pas généraliser les comportements est important pour ne pas développer un style d’attachement malsain.

Oui, on vous a fait du mal, mais cela ne signifie pas que tout le monde souhaite vous blesser.

Dès que vous assimilerez cela, vous aurez une vie de famille plus harmonieuse.

Comment combattre la philophobie ?

Selon l’intensité de la phobie, les traitements varient.

Vous pouvez suivre une thérapie cognitive ou une thérapie de désensibilisation affective, prendre des médicaments ou changer votre style de vie.

Vous pouvez également, bien entendu, choisir de combiner ces options afin d’obtenir un résultat plus durable.

La thérapie aide les gens qui souffrent de philophobie à identifier et changer les pensées négatives, les croyances et les réactions à la source même du trouble.

Pour guérir, il est donc important de comprendre d’où vient cette peur.

Qu’est-ce qui vous pousse à fuir pour éviter la douleur ?

Une fois que les origines du problème ont été identifiées, le thérapeute propose d’imaginer des scénarios précis.

Par exemple, que se passerait-il si votre relation amoureuse ne fonctionnait pas ?

Très souvent, on a tendance à amplifier les problèmes dans notre tête.

Donc, quand on a l’occasion d’articuler les conséquences réelles, on se rend compte que finalement une rupture (dans le scénario présent), ce n’est pas la fin du monde.

C’est simplement la fin du couple, pas de votre vie ni de votre capacité à aimer ou à être aimé(e).

La plupart du temps, s’il existe d’autres troubles mentaux, votre médecin va vous prescrire des médicaments comme des antidépresseurs, en combinaison avec une thérapie avec un spécialiste.

Enfin, un changement de style de vie peut être une manière efficace de lutter contre votre peur.

Les techniques de relaxation, les exercices pour apprendre le contrôle de vos émotions et les stratégies de visualisation peuvent être des méthodes utiles pour combattre votre philophobie.

Si votre partenaire ou vous souffrez de ce trouble, vous devez savoir que vous pouvez apprendre à gérer votre peur.

Certes, pour l’instant, vous avez l’impression que c’est une tâche dantesque, mais avec les bons outils, vous pourrez comprendre l’origine de votre peur et savoir comment lutter contre celle-ci.

Conclusion

La philophobie est une peur extrême d’aimer et de souffrir.

En effet, à cause de votre éducation ou de traumatismes liés à votre enfance, vous avez développé ce trouble.

Cela met en danger toutes vos relations, en particulier votre couple.

Plus votre partenaire se rapproche de vous, plus vous vous sentez mal à l’aise.

Plus les sentiments grandissent en vous et plus votre relation amoureuse se stabilise, plus vous vous sentez prisonnier/prisonnière.

Votre réflexe de base est donc de prendre la fuite.

Si vous ne suivez pas une thérapie cognitive ou de désensibilisation affective, vous allez finir votre vie seul(e).

Mais ce n’est pas tout !

Vous allez développer des troubles anxieux et dépressifs.

Ce qui ne fera qu’aggraver votre trouble.

Finalement, la meilleure solution pour surmonter la philophobie est de rester célibataire pour pouvoir vous concentrer sur votre santé mentale.

Et seulement quand vous avez suffisamment confiance en vous, vous pouvez tenter la vie de couple.

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