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Tu me manquais mais j’ai enfin compris… Tu ne m’as jamais appartenu !

Tu me manquais mais j’ai enfin compris… Tu ne m’as jamais appartenu !

Je me rends enfin compte que je me voilais la face. Je me mentais à moi-même !

J’ai toujours pensé que tu étais à moi. Et je pensais que tu ne voulais être à personne d’autre qu’à moi. J’avais le sentiment que tu m’aimais et que tu me donnais en fait tout ce dont j’avais besoin pour être heureuse.

D’ailleurs, je me considérais chanceuse d’avoir quelqu’un comme toi dans ma vie. Quelle idiote je suis…

Ce que je n’ai pas vu, c’est que tu ne me donnais que la moitié de l’amour que je méritais. En fait, tu n’as jamais été capable de me donner tout ce que je te donnais.

Tu étais égoïste avec tes sentiments et ton amour. Et tu me donnais seulement le minimum pour que je ne parte pas.

J’avais l’étrange sentiment que quelque chose n’allait pas mais je croyais fermement que c’était normal. Que c’était quelque chose que tous les couples traversaient à un bon ou à un autre.

J’étais tellement aveuglée par tes mots doux, tes jeux et tes actions que j’ai cru que tu n’étais qu’à moi. Mais la dure vérité, c’est que tu étais à tout le monde sauf à moi.

Tu as donné ton temps et ton amour à des femmes qui ne le méritaient pas.

Tu l’as donné si facilement à tout le monde mais tu ne me l’as jamais donné. Même si j’étais la seule à t’aimer de tout mon cœur, je n’ai jamais eu ce dont je rêvais.

Je n’ai jamais eu l’honneur d’être la seule femme de ta vie. En effet, tu étais bien trop obsédé par ton image de bad boy, de coureur de jupons.

Comment aurais-tu alors pu tirer un trait sur toutes les autres femmes ? Comment aurais-tu pu dire à tes amis que tu n’aimais que moi ?

Pour toi, c’était inconcevable. Mais moi, de mon côté, j’étais persuadée que tu étais le genre d’homme qui voulait vraiment s’engager sérieusement.

Tu m’as bien eue !

Je n’ai jamais eu droit à un amour à l’ancienne. Tu sais celui qui est romantique et qui te fait rêver ? Non, ça ne te dit rien ? Eh bien, c’est ce genre d’amour vintage que je désirais.

Pourtant, je n’ai jamais eu le sentiment que tu m’aimais et que j’étais la personne la plus importante dans ta vie.

J’ai toujours dû chercher ton amour et ton attention. Je devais te courir après si je voulais que tu sois avec moi. Mais tu aimais ce jeu car cela alimentait ton égo.

Tu aimais quand je perdais la tête parce que tu étais assis avec une autre femme et que tu la regardais comme tu le faisais avec moi.

Dans ces moments-là, j’avais l’impression que tout mon monde s’écroulait mais tu t’en f*utais royalement !

C’était satisfaisant pour toi donc tu as continué à me briser le cœur pas à pas. Tu voulais voir quelles étaient mes limites et si je me choisirai à la fin ou si je reviendrai vers toi en rampant.

Tu aimais jouer avec moi, avec mes émotions, avec mon bon sens. Tu me rendais folle et tu m’as ensuite accusée d’être LA reine du drame.

Voilà pourquoi tu n’as jamais compris pourquoi je me comportais comme je le faisais. Et voilà pourquoi tu ne comprendras jamais d’ailleurs.

Tu n’as jamais su voir à quel point je t’aimais. Pour être honnête, tu n’as même pas voulu essayer.
Voilà l’ampleur de ton amour pour moi… Presque du néant !

Pendant que j’essayais de sauver ce que nous avions, tu te donnais à chaque femme que tu rencontrais. Elles étaient toutes meilleures que moi. Elles étaient plus belles, plus intelligentes et plus drôles.

En tout cas, à tes yeux…

Mais tu sais quoi ? J’étais la plus belle, la plus intelligente et la plus drôle de toutes ! Ou du moins, je l’étais avant de tomber follement amoureuse de toi.

Mais, quand tu m’as brisée, j’ai complètement changé. Je suis devenue l’ombre de moi-même. Je suis devenue une femme qui n’avait pas envie de s’habiller et d’être belle parce que même si je faisais ça, je n’étais pas assez belle pour toi.

À cause de toi, j’avais peur de parler avec les gens ou avec mes amis car ils pensaient tous que je ne savais rien de tes infidélités.

Et j’avais honte d’avouer que j’étais au courant.  

À cause de toi, j’ai cessé d’être la fille amusante puisque tu m’as volé toute mon énergie positive et m’as laissée me demander si j’étais assez bien.

Je suis devenue un cadavre vivant, un fantôme, l’ombre de moi-même… Je passais toute la journée à analyser pourquoi notre couple ne fonctionnait pas et comment je pouvais devenir meilleure pour que tu m’apprécies davantage.

Ce que je ne pouvais pas voir, c’est que j’étais tout ce que tu voulais mais que tu avais trop peur que je devienne la personne dominante dans notre relation.

Tu as vu que je pouvais réaliser tous mes rêves et tu étais si terrifié que tu n’atteindrais pas tes objectifs et que je serais meilleure que toi.

Tu étais un lâche qui n’arrêtait pas de me faire du mal mais qui ne me laissait pas partir. Et c’est ce que tu es maintenant aussi. Tu es toujours une m*rde mais j’ai décidé que je serai heureuse.

Pendant longtemps, tu m’as manqué, je l’admets. Mais, ensuite, j’ai compris que tu ne m’avais jamais appartenu et donc que je n’avais aucune raison de ressentir ce manque.

Tu étais là avec moi physiquement, mais tu n’étais pas là en esprit. Tout ce que tu me donnais n’était pas par amour. Tu le faisais pour me faire rester.

En fin de compte, tu avais besoin de quelque chose que tu pourrais nommer comme raison pour laquelle je te quitterais.

Et chaque fois que je prévoyais de partir et de commencer une nouvelle vie, tu venais me dire que tu serais perdu sans moi, que j’étais la seule lumière au bout de ton tunnel et que ta vie n’aurait aucun but sans moi.

J’ai donc décidé de te donner une seconde chance. Et une troisième. Et une quatrième. Mais ensuite j’ai réalisé que tu n’essayais même pas de me faire rester. 

En effet, tu faisais des efforts pendant une journée puis, le lendemain, tout recommençait comme avant.

Ce n’était pas quelque chose que je voulais dans ma vie. Ce n’était pas quelque chose dont j’étais satisfaite. Alors, j’ai décidé de te laisser partir. Je dois admettre qu’il n’est pas facile de laisser partir quelqu’un que l’on aime depuis si longtemps.

Je me souviens encore des nuits blanches que j’ai passées à penser à toi alors que tu étais probablement dans le lit d’une autre femme.

Cela m’a pris tellement de temps mais j’ai fini par réaliser que je ne pouvais pas laisser tomber quelqu’un qui n’a jamais été à moi – du moins pas complètement.

Maintenant, quand je pense à toi, je me dis que tu n’étais qu’une leçon que je devais apprendre. Malheureusement, d’une manière difficile. Mais grâce à toi, je ne laisserai plus jamais un homme me traiter comme tu l’as fait.

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