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Voici les 14 Règles d’éducation recommandées par les psychologues

Voici les 14 Règles d’éducation recommandées par les psychologues

Avant de devenir parents, vous créez toute une liste de règles que vous voulez suivre.

Des matériaux que vous allez utiliser à la routine du coucher, en passant par les aliments proscrits.

Vous vous faites une idée particulière de ce à quoi la parentalité devrait ressembler.

Ensuite, vous devenez parents et la donne change.

Vous vous rendez compte que ces règles ne sont pas applicables et que vous devez changer votre point de vue.

Alors, vous vous tournez vers d’autres parents, sur le Net ou dans votre entourage, pour obtenir quelques conseils.

Vous comprenez vite que chacun a son opinion et que les gens ont tendance à dénigrer les approches qu’ils n’ont pas adoptées.

Finalement, vous êtes encore plus confus et vous ne savez vraiment pas quoi faire.

Heureusement, il y a quinze règles d’éducation que tous les psychologues conseillent d’appliquer.

En suivant ces lignes directives, vous saurez au moins que vous êtes sur la bonne voie.

Alors, voici les premiers principes que vous devez adopter avec vos enfants :

1. Accepter l’enfant sans condition

Cela ne veut pas dire l’aimer parce qu’il est beau, intelligent, adroit, excellent élève, aide les autres ou empathique.

Vous devez aimer votre enfant tel qu’il, simplement parce qu’il existe.

Ne cherchez pas à le changer pour le faire correspondre à un certain idéal.

2. Stimuler l’indépendance de l’enfant

N’interférez pas dans ce que fait l’enfant s’il ne demande pas d’aide.

En n’intervenant pas, vous lui dites : « Tu es capable de t’en sortir ! ».

Vous pouvez regarder de loin et même lui demander s’il a besoin d’aide, mais ne vous mêlez pas à ses affaires s’il se concentre sur ce qu’il a à faire.

3. Offrir son aide

Si votre enfant souffre ou traverse une période difficile, vous pouvez lui proposer votre aide.

S’il est prêt à accepter votre aide, tendez-lui la main !

Mais en même temps, n’assumez pas que vous savez ce que l’enfant peut faire ou ne pas faire.

Au fur et à mesure qu’il conquiert de nouvelles tâches, laissez-le progressivement faire de plus en plus de choses par lui-même.

4. Impliquer l’enfant dans vos différentes tâches

Demain, l’enfant ne fera que ce qu’il a fait aujourd’hui avec sa mère ou son père, précisément parce qu’il l’a fait « avec sa mère/père ».

La quantité de ce que nous avons fait « ensemble » devient une réserve dorée pour l’enfant, son potentiel pour le futur proche.

5. Apprendre à votre enfant à prendre soin de ses affaires

Lentement, mais sûrement, enlevez vos soins et vos obligations concernant les effets personnels de l’enfant et laissez-les-lui.

Si vous faites tout à sa place, il n’apprendra rien et il deviendra fainéant.

Ainsi, à l’âge adulte, il sera vraiment maladroit et il attendra à ce que les autres accomplissent ses obligations.

6. Laisser l’enfant choisir ses centres d’intérêt

La personnalité et les capacités de l’enfant ne se développent que dans le domaine qu’il a choisi parce que c’est ce qu’il voulait et parce que c’est ce qui l’intéresse.

Si vous le forcez à faire du piano parce que vous pensez que cela fera bien sur son CV plus tard, vous allez le frustrer.

Si vous projetez vos propres passions sur votre enfant, il va avoir l’impression qu’il n’existe pas en tant que personne, mais seulement comme extension de ses parents.

7. La violence n’est pas acceptable

Il n’y a pas de situation justifiant l’utilisation d’abus sur un enfant.

Je sais que la punition corporelle était acceptable il y a quelques décennies, mais les psychologues ont prouvé (depuis longtemps) que cela fait plus de mal que de bien.

Ainsi, même si votre enfant vous rend la vie impossible, trouvez la patiente et la force de parler avec lui.

8. Ne pas pointer le doigt sur l’enfant

Vous pouvez exprimer votre mécontentement à cause de l’action d’un enfant, mais pas à cause de l’enfant lui-même.

Bien sûr, vous avez le droit de condamner les actions de l’enfant.

Pourtant, vous n’avez pas le droit de condamner ses sentiments, aussi indésirables ou inacceptables soient-ils.

L’insatisfaction face aux actions de l’enfant ne doit pas être systématique, sinon elle se transforme en tourment de l’enfant.

9. Faire preuve de tendresse

Embrassez votre enfant plusieurs fois par jour – 4 câlins sont nécessaires pour la simple survie, et au moins 8 câlins par jour sont nécessaires pour la bonne humeur !

Et pas seulement pour les enfants, mais aussi pour les adultes.

D’ailleurs, parfois, les parents ont plus besoin de ces moments de douceur que les enfants.

10. Partager la joie

Concevez plusieurs travaux avec l’enfant ou plusieurs activités familiales, qui vont créer un environnement amusant.

Laissez une partie de cela devenir un « rituel », laissez l’enfant l’attendre avec impatience, sachant que cela viendra sûrement s’il ne fait pas quelque chose de mal.

Ne les annulez que s’il a vraiment dépassé les limites que vous avez posées.

11. Stimuler le jeu

Il est beaucoup plus important que les enfants bougent, explorent des objets, testent leur force.

Leur interdire une telle chose équivaut à endiguer une rivière en crue.

Votre enfant fera alors tout son possible pour braver vos interdictions et pourrait se mettre en danger.

12. Créer un cadre sécuritaire

Non seulement les enfants ont besoin d’ordre et de règles de comportement, mais ils les veulent et les attendent !

Ainsi, ils appréhendent plus facilement la vie et s’y retrouvent, cela leur donne un sentiment de sécurité.

13. Écouter les besoins de l’enfant

L’enfant est content lorsque nous comprenons ses besoins.

Explorer le monde est un besoin presque primaire pour lui.

L’enfant explore ses possibilités et repousse lentement les limites.

Quand il est petit, il veut grimper le plus haut possible sur l’arbre, quand il grandit un peu, il veut s’enfuir avec ses amis, puis rentrer plus tard que d’habitude.

Tout dépend du comportement des parents.

Les préceptes et les interdits sont impuissants.

14. Ne pas changer l’enfant

Tout ce que nous aimerions changer chez l’enfant doit d’abord être soigneusement vérifié.

Peut-être que c’est quelque chose qui nous gêne dans nos propres personnalités.

Ou bien, cela va à l’encontre de qui on est.

Si vous devez faire des changements, c’est probablement dans votre propre personnalité et dans votre approche.

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