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Voici 8 Règles à suivre pour élever un enfant qui échappe à votre contrôle

Voici 8 Règles à suivre pour élever un enfant qui échappe à votre contrôle

Je suis maman de trois enfants.

Mes deux premiers sont littéralement des anges.

Mon mari et moi n’avons jamais eu de problèmes avec eux.

Leur éducation était parfaite.

Ils mangent tout ce qu’on leur prépare, ils ne se disputent pas et ils écoutent papa et maman.

Finalement, on s’est convaincus que l’on était des parents du tonnerre !

Vraiment, on gère la parentalité !

C’est avec l’arrivée du troisième que l’on a compris que l’on ne gère pas du tout.

Simplement, nos deux premiers enfants sont ce que l’on appelle des enfants « faciles ».

C’est-à-dire qu’il est facile de communiquer avec eux et de leur faire entendre raison.

Mais le troisième…

Le troisième est une tornade.

Il n’a peur de rien, il ne respecte pas les limites et il fait littéralement ce qu’il veut.

Nous avons tout essayé pour le diriger vers le droit chemin.

Mais rien n’y fait !

Nous sommes désespérés.

D’ailleurs, même son frère et sa sœur commencent à se prendre la tête, car il ne les laisse pas jouer tranquillement.

C’est alors que mon mari a déclaré :

L’Univers nous a envoyé ce troisième enfant pour nous apprendre la patience et la véritable signification du mot « parentalité ».

Ce n’est pas faux !

Mais je me demande vraiment qu’est-ce qui a mal tourné ?

Qu’est-ce que l’on a fait différemment pour avoir des enfants aussi diamétralement opposés ?

Je peux le dire, mon fils de cinq ans est hors de contrôle !

Lui crier dessus ne sert à rien.

Le punir ne sert à rien.

Parler calmement et lui expliquer les conséquences ne sert à rien.

Bien entendu, je ne souhaite pas briser son caractère.

Je suis fière qu’il soit aussi fort, persévérant et débrouillard.

Mais en tant que parent, cela m’épuise au plus haut point.

Je ne veux pas qu’il devienne un ado tyrannique, arrogant et violent.

J’ai donc fait quelques recherches sur le Net et j’ai découvert les règles suivantes.

Dès aujourd’hui, nous allons les mettre en pratique.

Alors, essayez vous aussi !

Croisons les doigts pour obtenir des résultats positifs.

1. Mon fils doit apprendre les mots « s’il te plaît » et « merci »

Il les connaît très bien, mais ne les utilise pas beaucoup.

J’avoue, j’ai déjà essayé ça, et j’essaie encore et encore.

Cependant, la situation ne s’améliore pas.

Alors, au lieu d’insister encore et encore sur ces mots, je vais les mettre en pratique.

À chaque fois que je lui demanderai quelque chose, je les utiliserai.

Comme mon fils observe et imite tout ce que je fais, il finira sûrement par prendre cette habitude.

Je dois apprendre que la meilleure façon d’apprendre est par l’exemple personnel.

Clairement, il faut périodiquement se remettre en question, se corriger et montrer aux autres que ce n’est pas difficile.

2. La charité et la gratitude commencent à la maison

Toute notre famille s’offre des cadeaux pour les fêtes.

À partir d’aujourd’hui, je prévois également de changer cela.

J’introduis un don mensuel à un organisme de bienfaisance qui a besoin d’aide.

Bien sûr, je prévois d’inclure mon fils dans la recherche de qui aider et comment le mettre en œuvre.

Peut-être qu’en voyant toutes les personnes en difficulté, il changera de comportement et ressentira au moins un peu de gratitude pour tout ce qui lui a été donné.

J’espère que notre travail commun sur ce sujet éveillera en lui la joie de donner et éveillera son amour pour les gens.

Son comportement est ma faute, pas sa responsabilité.

Alors, je dois apporter les changements nécessaires.

3. Je vais faire un retour en arrière, plus précisément en 1950

Il y a beaucoup de choses qui étaient meilleures dans les années 1950.

Bien entendu, l’éducation n’était pas parfaite à l’époque.

Par exemple, l’idée que les enfants doivent rester silencieux ne me plaît pas des masses.

En effet, je refuse d’avoir une éducation radicale avec mes enfants.

Mais je ne veux pas non plus que mon fils se dispute avec moi pour le moindre petit détail.

Quand je dis à mon fils de cinq ans de mettre ses bottes, je n’ai pas envie de répéter dix fois.

Je n’ai pas envie de perdre mon sang froid.

Pour le moment, quand je lui dis ça, mon fils court de partout, veut faire pipi et cherche le jouet qu’il a perdu il y a un an.

Depuis que j’ai réalisé que toutes ces conversations visaient très probablement à attirer mon attention ou qu’il affirmait son indépendance à travers elles, je dois me demander s’il existe des déclencheurs supplémentaires ?

Par exemple, j’ai remarqué que le sucre, pris principalement via les bonbons, le rend encore plus actif.

Donc, voilà une nouvelle chose dont nous limiterons la consommation.

J’essaierai également d’être cohérente avec son horaire d’activités et sa routine quotidienne en général.

Je vais donc mettre en place une routine particulière pour le matin et une routine particulière pour le soir.

Si je suis stricte dans les délais et l’exécution, j’espère qu’il n’aura pas beaucoup de temps pour réfléchir à la façon dont il peut me tenir tête.

4. Je vais réduire le temps passé devant un écran

Quand j’ai besoin d’accomplir une tâche en silence, je donne le téléphone à mon fils.

Bien entendu, je ne le laisse pas regarder un écran toute la journée, mais quand j’ai besoin de temps pour moi, je lui tends le téléphone.

Le problème ?

Maintenant, il réclame de plus en plus le téléphone.

De plus, dès que j’ai le dos tourné, il vole littéralement mon téléphone pour regarder des dessins animés.

Même quand on lui propose de regarder quelque chose d’intéressant à la télévision, il refuse.

Souvent, je ne surveille pas ce qu’il regarde parce que je fais autre chose.

Dorénavant, cela doit changer.

Je ne vais pas complètement interdire l’utilisation des écrans, mais je vais grandement la limiter et la surveiller.

5. Je vais réduire les cadeaux

Quand j’étais petite, je n’avais pas grand-chose.

Alors, quand j’ai eu des enfants, j’ai voulu rattraper le temps perdu.

Dès que je vois quelque chose qui pourrait plaire à mes enfants, je ne peux pas m’empêcher de l’acheter.

Cela peut être un jouet, un habit ou n’importe quoi d’autre.

Au fond, je sais que ce n’est pas bon pour mes enfants.

Maintenant, le plus jeune ne sait pas être reconnaissant et il veut toujours quelque chose de nouveau.

Mais les cadeaux doivent être réservés aux occasions spéciales.

Dorénavant, même si je vois quelque chose bon marché, je ne me jetterai pas dessus.

Promis !

6. Je vais faire semblant d’aimer cuisiner

Je n’aime vraiment pas cuisiner, mais pétrir des gâteaux – ça me va.

Mon fils adore cuisiner, pâtisser et pétrir…

Cela lui donne l’impression qu’il est grand et responsable.

Mais je déteste le désordre et tout le ménage qu’il y a à faire après, alors je limitais au maximum cette activité.

Pourtant, je dois faire des sacrifices.

Si je fais plus d’activités qui lui plaisent et si je m’investis davantage, il va apprécier cela.

Alors, il me cherchera moins quand je ferai autre chose.

7. Je refuse de laisser ma colère prendre le dessus

Mon fils n’est pas responsable de ma colère, donc je dois travailler sur mes accès de rage.

De nombreuses recherches ont prouvé que la maman est l’influence principale d’un enfant.

Même si beaucoup de gens pensent que c’est la télévision ou Instagram, la figure parentale principale reste la source première des émotions, des envies et du comportement.

Je dois donc apprendre à réagir de manière plus calme.

Par exemple, si quelqu’un me coupe la route en voiture, je ne vais pas jurer devant mon enfant.

Ou bien, s’il casse un verre alors que je lui ai dit mille fois de le tenir avec les deux mains, je ne vais pas entrer dans une rage incontrôlable.

Bref, je dois garder à l’esprit que mon enfant regarde et imite tout ce que je fais.

Peut-être qu’il est plein d’énergie et hyperactif parce que je réagis trop impulsivement moi-même.

8. Je refuse de blâmer mon enfant

En tant que maman, je dois apprendre à ne pas critiquer mon enfant.

Je dois simplement lui faire comprendre que son comportement n’est pas idéal.

Ainsi, au lieu de lui dire « tu es violent », je dois apprendre à dire « ton comportement est violent ».

Cela va demander beaucoup de travail, car je dois désapprendre tout ce que j’ai vu et entendu mes parents faire.

Je me rappelle les paroles lourdes de mes parents et les sentiments que cela faisait naître en moi.

De plus, je ne dirai jamais à mon enfant qu’il est comme son père ou comme sa mère.

Personne n’aime être comparé aux autres, car chacun de nous a besoin d’être sa propre personne.

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