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À sept ans, votre enfant doit impérativement connaître ces 3 Tabous

À sept ans, votre enfant doit impérativement connaître ces 3 Tabous

Les enfants sont élevés comme des divinités, ce qui les empêche de se préparer au monde réel. Les parents les protègent des obligations et tombent alors dans leurs propres pièges, car il devient difficile de communiquer avec les enfants.

Pourtant, dès l’âge de sept ans, trois tabous devraient être construits chez les enfants.

Une famille moderne est en fait un groupe d’individus qui vivent des vies parallèles dans le même espace de vie. Il n’y a pas de conversation comme avant.

Nos parents rassemblaient toute la famille autour de la table, au moment du dîner, pour parler de leur journée, de l’école ou de ce que la famille devait faire.

D’ailleurs, ils passaient beaucoup plus de temps à parler avec leurs enfants, à les éduquer, à les louer, mais aussi à les réprimander.

L’institution du mariage traverse une crise grave. Il est facile de se marier et encore plus facile de divorcer. Ainsi, les partenaires ressemblent davantage à des compétiteurs qu’à des amoureux.

Par exemple, qui a la meilleure technique éducative ? Qui est un parent plus impliqué ? Qui gagne le plus d’argent ? Et j’en passe des meilleures.

Les conjoints développent souvent des compétitions au lieu de partenariats. Pourtant, nous avons été créés différents afin de pouvoir créer une famille.

Aujourd’hui, à travers diverses philosophies New Age, l’individualisme est en train d’être forcé. Or, l’individualisme est une connexion méditative avec « l’intelligence universelle » et rend une personne complètement impuissante à ressentir de l’empathie, engourdie par la douleur et la solidarité.

En face du modèle New Age se trouve le modèle religieux d’éducation, qui voit la réalisation de la personnalité d’une personne en contact avec la nature et les autres.

La vie d’aujourd’hui est techniquement plus facile pour l’Homme, mais en même temps, l’Homme est techniquement piégé, solitaire et malheureux.

Ainsi, on voit de plus en plus d’enfants accros aux réseaux sociaux et aux jeux vidéo. Mais on ne peut pas arrêter la roue de l’histoire. Pourtant, nous devons trouver un moyen de nous déterminer selon les contenus de l’époque moderne et de préserver ce qui est traditionnellement bon.

J’ai grandi dans une famille nombreuse dans laquelle mon grand-père organisait des corvées pour nous les enfants et nous les acceptions sans condition.

Aujourd’hui, nous avons des familles dans lesquelles les enfants ne peuvent pas apprendre à jeter les ordures, à déjeuner à l’heure… Il est difficile d’accepter les rôles, ce qui rend difficile l’adoption des habitudes de travail.

De plus, il est difficile de fixer des limites…

Les enfants sont élevés comme des divinités, ce qui les empêche de se préparer au monde réel. 

Il y a un manque de temps ensemble et de sorties spontanées en famille. Les familles modernes ont de plus en plus de mal à trouver un lieu et un moment pour cela et manquent donc de conversation, de tact et de patience dans les relations mutuelles.

Les enfants doivent apprendre à utiliser les téléphones portables et les ordinateurs de manière rationnelle. Nous devons être prudents et les conduire vers ce qui les aidera à se définir en tant qu’êtres humains.

Tout cela, pour les guider à conquérir la perception de la beauté et du bien, développer la tolérance et ne pas se moquer des autres.

Il y a de moins en moins de joie dans la vie humaine. L’homme d’aujourd’hui est de plus en plus adapté et de moins en moins maître de son temps pour la conversation et la pensée spontanée.

En plus des parents, les enfants adoptent également des messages via la télévision et Internet. Leurs esprits regorgent d’images qui perturbent l’imaginaire, nécessaires à la création.

Le monde virtuel se mêle au réel et la perte de l’épreuve de réalité est le premier critère de la folie. Nous ne devons pas paniquer, mais nous devons réagir.

À l’âge de sept ans, trois tabous devraient être érigés chez les enfants : l’agressivité, l’auto-agression et l’inceste. Aujourd’hui, il arrive que les enfants brisent certains tabous avant même qu’ils ne soient construits.

Il est important que nous tous, adultes, soyons activement présents dans la vie des enfants, en les aidant à choisir le contenu qui sera leur salut et non la montée d’adrénaline, l’excitation que le monde extérieur offre principalement.

Pourquoi ces trois tabous ?

L’agressivité que vos enfants perçoivent chez vous et sur leurs écrans les mènent vers le mauvais chemin. En effet, s’ils vous voient être méchant(e) avec eux ou avec d’autres adultes (ou leur autre parent), ils pensent que c’est normal.

De plus, si vous les laissez regarder des vidéos ou des jeux agressifs, ils vont aussi voir cela comme un signe d’approbation. Ainsi, l’agressivité va devenir une réponse normale et acceptable.

Liée étroitement à l’agressivité, l’auto-agression est un autre phénomène très présent chez les enfants et les adolescents. En effet, vivant dans le monde des réseaux sociaux, un simple commentaire ou un rejet peut les mettre dans tous leurs états.

Et si vous ne communiquez pas suffisamment avec eux, ils ne vont pas apprendre à contrôler leurs émotions. Donc ils vont se retourner contre eux-mêmes.

C’est pourquoi, on remarque une augmentation inquiétante du nombre d’automutilations chez les enfants et les adolescents. Ces premiers gestes mènent malheureusement, souvent, au suicide. 

Ou du moins, aux pensées suicidaires. Combien de fois avez-vous entendu aux informations qu’une adolescente s’était suicidée parce qu’elle était harcelée sur Facebook par ses amies ? Ou parce que son petit ami l’a quittée ?

C’est alarmant !

Enfin, le troisième tabou, l’inceste, est primordial. En effet, s’il est normal d’aimer ses parents/ses enfants, il doit y avoir des limites. Et vous devez définir clairement ces limites.

Vous devez expliquer à votre enfant ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Surtout, vous devez ouvrir les voies de communication. De cette manière, votre enfant peut se tourner vers vous s’il a des questions ou des inquiétudes.

De plus, vous devez lui faire comprendre qu’il peut vous parler de tout, sans jugement ni colère. Ainsi, s’il se trouve dans une situation dangereuse, il pourra vous en parler à temps.

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