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Si vous n’êtes pas heureuse, vous êtes pourtant la seule à pouvoir changer les choses

Si vous n’êtes pas heureuse, vous êtes pourtant la seule à pouvoir changer les choses

Nous nous contentons souvent de ce que nous pensons être bien, acceptable et sécurisant. Nous sommes gouvernés par le besoin de rester, parce qu’avancer nous fait peur.

Parce que faire face à un tout nouvel environnement, où les gens, les choses et les endroits auxquels nous étions habitués ne sont pas est effrayant.

Nous sommes terrifiés par l’idée d’avancer, parce que nous avons l’impression d’en être incapables, incapables de laisser certaines choses derrière nous. Nous sacrifions notre propre bien-être, notre propre bonheur. En choisissant de rester, nous choisissions de faire des compromis alors que nous devrions partir et aller de l’avant.

Si vous êtes malheureuse, bougez. Parce que si l’on était censé ne rester qu’à un seul et même endroit, nous aurions des racines et non des pieds.

Si votre travail vous rend malheureuse, démissionnez. Si vous avez l’impression de ne plus évoluer, si vous ne faites plus que pointer jour après jour – bougez. Si vous êtes constamment anxieuse, parce que ce travail vous épuise psychologiquement, moralement et physiquement, bougez.

Si vous décidez de garder ce travail qui vous vide de toute joie, parce qu’il paie les factures, parce que vous pourriez bien être promue ou parce que vous pouvez dire de vous que vous « réussissez » – NON. Votre bonheur ne dépend pas que de votre réussite. Mais votre réussite dépend en revanche de votre bonheur.

Si vous pensez qu’il existe d’autres opportunités, d’autres endroits, d’autres choses à explorer et qui feront du bien à votre âme et à votre développement personnel, foncez. Si cela mérite que vous y pensiez, ça mérite aussi que vous essayiez.

On n’est jamais trop vieux pour essayer. Qu’elle soit bonne ou mauvaise, toute expérience est bonne à prendre. N’oubliez pas que chaque expérience a quelque chose à nous enseigner, que nous n’apprendrions jamais si nous nous y refusions.

Si les gens qui vous entourent vous rendent malheureuse, quittez-les. Si vous sentez qu’ils ne vous influencent plus positivement et que vous ne grandissez plus à leurs côtés, partez. Partir ne signifie pas nécessairement de couper les ponts avec eux et de les oublier pour toujours, mais signifie plutôt que vous allez enfin de l’avant. Vos moments ensemble ont été formidables.

Vous avez appris et ils vous ont encouragée, mais s’ils ne vous offrent plus ces choses-là, ils ne participent plus qu’à vous installer dans une forme de médiocrité … Alors, le moment est peut-être venu de leur dire « merci » et « à bientôt ». Vous prenez simplement conscience du fait que vous devez avancer dans votre vie, potentiellement sans eux.

Si votre vie amoureuse vous rend malheureuse, tournez la page. Il n’est pas la seule personne sur terre. Les relations amoureuses ne se résument pas à des baisers sur le front, à des dîners, à des câlins et à des lettres d’amour – les relations amoureuses sont comme n’importe quel autre lien vital, censées se bonifier avec le temps et avec vous.

Elles sont censées vous permettre de murir et d’évoluer dans tous les aspects de votre vie. Elles sont censées vous encourager à vous lever chaque matin et non vous accabler de doutes et de rancœur.

Si votre partenaire n’est devenu qu’une source de chagrins et de toxicité, coupez les ponts. Vous n’êtes en aucun cas obligée de porter un tel fardeau.

Il est censé être la personne qui vous pousse à vous surpasser, qui vous motive et qui vous permet de découvrir votre grandeur. Rappelez-vous : dans un futur proche, peut-être, vous rencontrerez quelqu’un qui nourrira votre âme d’une toute nouvelle manière.

Si la ville dans laquelle vous vivez vous rend malheureuse, déménagez. Ne vous contentez pas de votre zone de confort et d’un filet de sécurité. L’habitude, c’est bien, mais trop d’habitude est nocif. De petits risques et un peu d’incertitude peuvent vous emmener plus loin que vous ne pourriez l’imaginer.

Si vous ne restez que parce que vous vous sentez en sécurité et parce que vous y vivez depuis assez longtemps pour que ce soit votre « maison » ou parce que c’est « pratique » – peut-être devriez-vous réfléchir à deux fois à vos décisions.

Le confort peut être bien plus effrayant que quelques risques. Souvenez-vous, les grandes choses ne naissent qu’en dehors de notre zone de confort. Alors, faites vos valises, quittez votre ville et emménagez ailleurs si vous le devez.

Partez à l’aventure. Prenez un nouveau départ. Partez à la recherche d’endroits que vous aimerez visiter, d’endroits où vous aimeriez rester. C’est le moment. Votre maison, c’est là où votre bonheur se trouve, pas là où il est contraint.

Si la direction que prend votre vie vous rend malheureuse, prenez la première bifurcation possible. Qu’il s’agisse de votre choix d’études ou du chemin que prend votre carrière ou votre entreprise – quel que soit le chemin sur lequel vous êtes maintenant, s’il est source de mécontentement, c’est qu’il est temps de faire une pause et de vous rediriger.

Si vos études ne vous plaisent pas, changez-en. Croyez-moi, vous ne voulez pas gâcher des années, des efforts et de l’argent pour quelque chose que vous n’avez jamais aimé. Ça ne vous apprendra qu’à vous contenter de peu.

Mais au bout du compte, ça ne vous enhardira pas et vous vous sentirez vidée, épuisée. Alors peu importe que vous ayez votre diplôme l’année prochaine, mieux vaut prendre une décision avant d’être coincée dans un bureau, dans un travail médiocre que vous ne comprenez même pas et qui ne vous enrichit pas.

Si vous investissez des années d’un temps précieux et votre expertise dans une carrière qui ne vous satisfait pas, changez. Si vous ne vous voyez pas rester sur ce même chemin, quel est le but ? Il n’y a pas de bon moment pour changer et partir, alors faites-le dès que vous en ressentirez l’envie.

Faites-le si vous êtes malheureuse. Faites-le maintenant. Choisissez votre propre chemin, embrassez la diversité et l’évolution. Quelque soit la direction que vous prenez en ce moment-même, si elle vous rend malheureuse, prenez la première bifurcation. Que ce soit vers la gauche ou vers la droite, tant que vous êtes heureuse, vous n’y perdrez pas.

Si la vision de votre propre vie vous rend malheureuse, changez-en. Apprenez à voir la vie d’un autre point de vue, d’une perspective différence.

Faites de nouveau connaissance avec la vie. Les inquiétudes et trop de réflexions ne changent en rien ce qu’est la vie. Comme on dit, ne vous stressez pas pour des choses sur lesquelles vous n’avez aucun pouvoir.

La seule chose que vous pouvez faire, c’est orienter votre regard sur de nouveaux horizons et apprendre à voir la vie dans toute sa splendeur. Cessez de ne la voir que pour ses problèmes. La vie est belle.

Si l’endroit où vous en êtes maintenant vous rend malheureuse, bougez. C’est aussi simple que ça ; je ne sais pas pourquoi l’on essaie tant de se compliquer les choses.

Pourquoi est-ce que l’on dépense autant de temps et d’énergie à tout scruter, quand nous ne devrions penser qu’à une chose : notre propre bonheur.

Alors, plutôt que de redouter et de repenser chaque décision qu’il vous faut prendre, faites confiance à votre instinct. Parfois, prendre des risques et choisir l’incertitude est une bonne chose. Il ne faut pas passer son temps à peser les pour et les contre.

Il n’y a qu’une chose qui compte vraiment : notre bonheur, notre soif de vie et notre désir de contenter notre cœur. On n’a pas besoin de toujours savoir où l’on va ou quelle sera la prochaine étape ; parfois, il suffit juste de faire un premier pas … Et c’est ça BOUGER.

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