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Voici ce que j’aurais aimé entendre quand j’étais enfant…

Voici ce que j’aurais aimé entendre quand j’étais enfant…

… Maintenant, je dois me le répéter en tant qu’adulte !

Lorsque les enfants et les parents ne communiquent pas de manière efficace ou qu’ils ne communiquent pas du tout, cela peut avoir plusieurs conséquences négatives pour l’enfant et le parent, ainsi que pour la dynamique familiale dans son ensemble.

Les enfants se sentent isolés sur le plan émotionnel lorsqu’ils ne communiquent pas ouvertement avec leurs parents.

Ils ont l’impression de ne pas être entendus, de ne pas avoir d’importance ou que leurs opinions et leurs sentiments ne comptent pas.

Un manque de communication contribue à une faible estime de soi chez les enfants.

Lorsque les parents ne s’engagent pas avec leurs enfants ou ne leur fournissent pas de commentaires positifs et de soutien, cela a un impact sur leur estime de soi.

La communication est essentielle pour aborder et résoudre les problèmes de comportement.

En l’absence de communication, les enfants se montrent frustrés ou cherchent à attirer l’attention de manière négative.

Les enfants apprennent à résoudre les problèmes et les conflits en communiquant avec leurs parents.

Sans cette possibilité, ils peuvent avoir du mal à gérer efficacement les conflits et les difficultés.

Finalement, un manque de communication met à mal le lien parent-enfant, ce qui fait que les enfants ont du mal à se sentir proches de leurs parents ou à se confier à eux.

Le manque de communication chez les parents

Les parents manquent des occasions de guider et d’encadrer leurs enfants lorsque la communication est insuffisante.

Ils ne sont pas au courant des préoccupations, des difficultés ou des besoins de leur enfant.

De plus, un manque de communication accroît le stress des parents.

Lorsqu’ils ne comprennent pas les sentiments ou les comportements de leur enfant, cela peut être frustrant et inquiétant.

Pour être efficace, l’éducation des enfants nécessite souvent une communication claire afin de fixer des limites, de faire respecter les règles et de donner des conseils.

Sans cela, les parents ont du mal à gérer le comportement de leur enfant.

La famille est en danger

Le manque de communication entraîne des malentendus et des conflits non résolus au sein de la famille.

Ces problèmes s’enveniment et prennent de l’ampleur avec le temps.

Une communication efficace est essentielle pour renforcer la cohésion et l’unité de la famille.

Sans elle, les membres de la famille peuvent se sentir déconnectés les uns des autres.

En fait, un manque de communication entre les parents et un enfant affecte toute la famille, y compris les frères et sœurs qui peuvent observer la discorde et en ressentir les effets.

Que se passe-t-il lorsque les parents ne soutiennent pas leurs enfants ?

Le manque de soutien parental entraîne une faible estime de soi chez les enfants.

Lorsque les parents ne les encouragent pas, ne les valident pas et ne leur donnent pas de commentaires positifs, les enfants peuvent douter de leur valeur et de leurs capacités.

Cela a des conséquences négatives :

  • Manque de confiance en soi
  • Détresse émotionnelle
  • Problèmes de comportement
  • Altération des compétences sociales
  • Mauvais résultats scolaires
  • Diminution de la résilience
  • Image négative de soi
  • Problèmes d’attachement

Les effets d’un soutien parental insuffisant peuvent se prolonger à l’âge adulte et avoir un impact sur l’estime de soi, les relations et la santé mentale en général.

Alors, quelles sont les phrases que j’aurais aimé entendre de la part de mes parents ?

Quelles sont les choses que je n’ai jamais entendues, mais qui auraient fait une grande différence ?

1. Tu as le droit de faire du bruit et du bordel

Pendant toute mon enfance, mes parents m’ont couru après pour me dire de me taire, de ranger et de ne pas chanter.

J’ai souvent entendu qu’ils étaient fatigués ou que je les stressais avec mon comportement.

Finalement, j’ai appris à jouer seule, dans mon coin, sans rien dire.

Ensuite, lorsque mes parents me posaient des questions, je me renfermais.

Alors, ils me criaient dessus parce qu’ils ne comprenaient pas pourquoi je ne leur parlais pas.

Cela a créé beaucoup de confusion chez moi.

Pourtant, un enfant a le droit de jouer, de crier ou de chanter.

Ce n’est pas sa responsabilité de faire attention à ses parents ou à leur réaction, il a le droit de se développer sainement.

Maintenant que je suis adulte, j’ai beaucoup de mal à faire entendre ma voix.

Quand il y a un conflit, je ne sais pas me défendre et je dis souvent ‘oui’ alors que je n’ai pas envie de faire quelque chose.

2. Les émotions sont les informations de ton corps

Elles ne sont ni bonnes ni mauvaises.

Lorsque je pleurais, mes parents disaient que j’étais dramatique ou que j’étais trop sensible.

Quand j’étais en colère, ils me disaient que je n’avais pas le droit de m’opposer à eux.

Et c’était pareil avec toutes les émotions, donc j’ai appris à les cacher.

Je devais toujours sourire et faire semblant d’être heureuse, même quand j’étais misérable.

J’ai dû suivre une thérapie pour apprendre à comprendre et à gérer mes émotions.

J’ai finalement compris qu’il n’y a rien de mal à ressentir des sentiments négatifs, qu’ils font partie de la vie.

Les ignorer ne fait qu’empirer la situation parce qu’elles s’accumulent et créent une profonde détresse émotionnelle.

3. Tu as le droit de dire ‘non’

Si tu n’as pas envie de faire quelque chose, tu n’es pas obligée.

En tant que fille, j’ai toujours été élevée pour faire passer les besoins des autres en premier.

Je devais sourire, embrasser mes grands-parents et participer à toutes les activités qu’ils organisaient.

‘Non’ ne faisait pas partie de mon vocabulaire, donc j’ai appris à accepter le malaise.

Maintenant, je ne sais pas dire ‘non’ à des invitations quand je suis fatiguée ou stressée.

Si j’ai des obligations, je les annule pour faire plaisir aux autres et je ne sais pas satisfaire mes besoins.

Je suis ma dernière priorité !

Chaque jour, je dois me battre avec mes propres pensées intrusives pour enfin faire ce que j’ai vraiment envie de faire.

4. Être toi-même est suffisant

Apparemment, je n’étais jamais suffisamment intelligente, belle ou mince.

Mes parents avaient toujours quelque chose à me reprocher.

Ils me comparaient toujours à mes amies ou à mes cousines, en disant des choses comme « pourquoi n’es-tu pas plus comme Pauline ? ».

Ils me blessaient vraiment et j’ai même essayé plusieurs fois de leur faire comprendre mon point de vue, mais cela ne portait jamais ses fruits.

Une fois adulte, j’ai commencé à penser que je ne méritais pas l’amour de mon partenaire, la promotion au travail ou même mes amies.

J’avais l’impression d’être un imposteur qui mentait à tout le monde et j’avais peur d’être découverte.

Il m’a fallu du temps pour comprendre que je suis une femme forte, intelligente et belle.

5. Sois grande et brillante

Prends tout l’espace dont tu as besoin parce que tu n’es jamais ‘trop’.

Je l’ai déjà mentionné, mais je le répète : mes parents passaient leur temps à me dire que je devais me taire et ne pas faire de bruit.

Bref, je devais me faire petite !

Ainsi, j’ai appris que l’expression de la joie, de la tristesse et de quelconque émotion était une façon d’attirer l’attention.

Or, une femme ne devrait jamais prendre trop de place !

Cela effraie les hommes apparemment, ce qui n’est jamais une bonne idée.

Pourtant, j’ai le droit de prendre de la place et de me faire entendre.

Je n’ai pas à cacher mes émotions, mes intentions ou mes idées.

Maintenant, je veux briller de mille feux et prendre ma place dans le monde des adultes.

6. Que ressent ton corps à propos de cette situation ?

L’intuition et le corps sont de bons indicateurs pour vous faire comprendre ce qu’il se passe.

Ils vous disent si vous vous sentez à l’aise ou si quelque chose cloche.

Ils offrent des signes d’alarme pour vous dire si vous êtes en danger ou si vous appréciez une personne.

Il est important d’apprendre à écouter ses instincts pour agir en conséquence.

Vous êtes la seule personne en qui vous pouvez avoir confiance et qui peut vous protéger dans toutes les circonstances.

Personne ne peut vous comprendre comme vous-même, vous êtes votre meilleure amie.

7. La vérité est une émotion

Elle n’est pas toujours facile à accepter et elle n’est pas toujours belle, mais elle représente la réalité.

Ainsi, vous avez le droit d’être en colère ou triste lorsque vous l’apprenez.

Toute réaction est acceptable tant que vous l’exprimez de manière saine.

Il est essentiel de faire preuve de respect de soi et d’accepter les choses telles qu’elles sont.

Il ne sert à rien de se mentir ou de fermer les yeux, cela ne fait que nourrir la toxicité.

Je sais que beaucoup de personnes ne se rendent pas compte que la vérité engendre des émotions.

Ce n’est pas que des paroles en l’air !

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