Qui ne cherche pas le bonheur ?
On veut tous être heureux et mener une vie qui nous donne envie de nous lever le matin.
Malheureusement, il n’est pas si facile que cela d’atteindre la félicité, principalement parce que nous avons souvent une mauvaise définition de ce que représente le bonheur.
Le bonheur, ce n’est pas de ne jamais rencontrer de défis, de toujours être calme ou d’avoir une tonne d’argent.
Le bonheur est un état profond de satisfaction qui vous offre la paix d’esprit et la plénitude.
En fait, c’est un état émotionnel positif caractérisé par des sentiments de plaisir, de contentement et de satisfaction.
Bien sûr, il s’agit d’une expérience subjective qui varie d’une personne à l’autre et qui peut être influencée par un large éventail de facteurs tels que la génétique, les expériences de vie, l’environnement et les valeurs personnelles.
Certaines personnes peuvent trouver le bonheur en atteignant leurs objectifs, en nouant des relations solides, en faisant de nouvelles expériences ou simplement en profitant du moment présent.
Une fois que cette idée est claire pour vous, voici ce que vous devez faire pour atteindre votre état de félicité pure :
1. D’abord, il ne faut pas avoir peur du bonheur
La plupart des gens ont grandi dans des familles qui ont pour habitude de ne pas profiter de la vie.
Ils se plaignent de tout et n’importe quoi, ils parlent même de leurs problèmes de couple devant les enfants.
Bref, certaines familles baignent dans l’insatisfaction permanente.
L’incapacité des parents à être heureux et à rire se transmet également aux enfants, qui commencent à penser que c’est ainsi que le monde fonctionne.
Une autre erreur est de penser que vous devez payer pour tout ce qui est bon plus tard.
Nous avons peur de ressentir du plaisir dans la vie parce que l’on pense que cela a toujours un prix.
2. Les plaintes vous piègent dans un cycle négatif
Que voulez-vous lorsque vous vous plaignez à quelqu’un de vos problèmes ?
Vous voulez vous plaindre et obtenir la pitié, vous ne cherchez pas à résoudre les problèmes.
C’est une sorte de culte des lamentations : notre propre invention et on ne peut pas vraiment en être fier.
Il est plus facile de souffrir que de vivre heureux.
Une personne en bonne santé acceptera la situation telle qu’elle est ou la changera.
Une personne névrosée ne fera ni l’un ni l’autre.
Cela s’applique également aux maladies physiques – pendant qu’une personne en bonne santé mentale est traitée pour une maladie, une personne névrosée voudra être malade, car de cette façon, elle aura une raison de se plaindre.
C’est presque un passe-temps : s’inventer un problème et en souffrir.
3. Il faut distinguer les problèmes réels des problèmes imaginaires
La différence entre une personne en bonne santé et un névrosé est que le premier s’inquiète de problèmes réels, tandis que le second souffre de problèmes inexistants.
Dans le deuxième cas, c’est une question de suranalyse : chaque détail de la vie est minutieusement analysé et extrapolé.
On s’invente des situations toxiques qui ne peuvent pas se produire, en passant à côté de tout ce qui est positif dans sa vie.
Si vous voulez atteindre le bonheur, vous devez apprendre à vous concentrer sur ce qu’il se passe réellement.
Pourquoi perdre votre temps et votre énergie à créer de faux scénarios ?
Encore une fois, vous cherchez la pitié, mais cela vous mène à l’anxiété.
Et l’anxiété est tout le contraire du bonheur !
4. N’essayez pas d’aider tout le monde autour de vous
Alors, vous essayez d’augmenter votre confiance en soi en aidant les autres.
Par conséquent, si on ne vous a pas demandé d’aider, éloignez-vous de cette personne, et consacrez-vous à ceux qui ont réellement besoin de votre aide.
Le besoin de plaire à tout le monde est malsain et il ne vous apporte pas le bonheur que vous espérez.
Par contre, faire du bénévolat ou soutenir quelqu’un qui traverse une période difficile sera bien plus efficace et sain pour vous.
5. Ne répondez pas à moins que l’on vous le demande
Lorsque vous répondez à des questions non posées avec des mots ou des actions, vous montrez votre anxiété.
Si vous êtes dans un groupe de personnes qui discutent, vous pouvez donner votre avis et même poser des questions.
Mais si un individu s’adresse en particulier à une personne, ne répondez pas à sa place et ne coupez pas la parole.
Non seulement vous vous montrez impoli(e), mais en plus, vous vous mettez sur un piédestal.
Comme si votre opinion valait plus que celle des autres, alors soyez patient(e).
Pour atteindre le bonheur, vous devez apprendre à ne pas étouffer les autres et à garder quelques idées pour vous.
6. Il faut distinguer l’amour de la dépendance
Les gens ne quitteront jamais ce qu’ils aiment.
La dépendance est une forme malsaine de l’amour qui tourne à l’obsession, vous ne pouvez pas vivre sans l’autre.
Vous ne supportez pas quand votre moitié passe du temps avec d’autres personnes ou apprécient des activités que vous n’aimez pas.
L’amour est l’acceptation, la liberté et la tolérance : vous êtes heureux/heureuse de voir votre partenaire rire et apprécier la vie.
Eh bien, dans votre vie, vous devez faire la différence entre ces deux termes : l’amour de soi et la dépendance à vos mauvaises habitudes.
Découvrez ce qui vous fait vibrer et suivez votre instinct : écoutez votre cœur et apprenez à vous accepter tel(le) que vous êtes.
7. La routine n’est pas toujours mauvaise
Les névrosés ne peuvent pas vivre en paix, ils ont peur de ne pas avoir le temps de faire quelque chose.
Ils sont diplômés de cinq collèges, ils sont toujours contrariés, ils se sentent mal à l’aise s’ils ne font rien…
Bref, le calme les stresse !
Les personnes heureuses savent qu’il y a du bon à avoir un calendrier clair et une journée dont vous connaissez le développement.
Cela évite le stress des moments inattendus et les plans qui tournent au vinaigre.
La routine est une façon de rester dans sa zone de confort et de se sentir en sécurité.
8. Changez-vous, ne vous inquiétez pas des autres
Et cela s’applique avant tout à l’éducation des enfants.
Vous ne pouvez pas les forcer à faire quelque chose si vous ne le faites pas vous-même.
Les enfants n’apprennent pas ce que vous leur dites, mais ce que vous faites vous-même et comment vous traitez les autres.
Dans ce cas, les conseils de l’hôtesse de l’air sont très utiles : mettez d’abord le masque à air sur vous-même, et ensuite seulement sur l’enfant.
Ne vous plaignez pas de la manière dont les gens vous traitent, changez votre approche et ils n’auront pas d’autre choix que de s’adapter.
Quand vous voulez changer votre entourage, vous devez toujours commencer par vous.
9. Arrêtez de vous identifier aux critiques des gens
Souvenez-vous de la situation : vous êtes assis(e) dans le bus, une vieille grand-mère entre.
Tout le bus vous regarde avec colère et vous vous levez le plus vite possible de votre siège.
Pourquoi le faites-vous, alors que grand-mère ne vous a même pas demandé de le faire ?
La raison réside dans une faible confiance en soi et la peur d’être jugé.
Expérimentez, essayez de rester en place, si vous ne voulez pas vous lever, peu importe ce que les gens disent autour de vous, ne réagissez pas tout de suite.
Au fil du temps, vous verrez que vous ne dépendez pas de ce que disent les autres.
10. Faites seulement ce que vous voulez faire
Un exemple classique de ceci est la situation où vous jouez avec les enfants de vos amis parce que vous « devriez » parce que vous êtes une bonne personne.
Cela signifie que vous vous forcez à faire quelque chose qui ne vous apporte rien de positif.
Arrêtez de faire ça !
Jouez avec eux uniquement lorsque vous avez envie de jouer, car ils sentiront également que vous le faites par sens du devoir et non par intérêt.
Et le sens du devoir n’est pas l’amour.
Occupez-vous des enfants quand vous voulez parce que vous avez certainement beaucoup d’autres obligations.
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