Les techniques d’abus manifestes, communément utilisées par les personnalités borderlines sur leurs cibles, provoquent des problèmes de santé physiques chez ces victimes de personnes socialement agressives et violentes. Ces techniques participent également à la mise en place d’un climat global de violence au sein de tout environnement dans lequel les personnalités borderlines ont l’opportunité d’avoir une influence.
Les personnes les plus fréquemment touchées par l’abus social sont extrêmement sensibles et émotionnellement intelligentes. Elles sont par nature enclines aux comportements humanistes. Les personnes ayant moins de dispositions sociales (c’est-à-dire étant socialement moins puissantes ou influentes) sont aussi des cibles potentielles.
Si la maltraitance prévaut au sein de votre foyer, attendez-vous à ce que votre santé décline et à ce que votre estime de soi en souffre. S’entendre constamment dire que VOTRE manière de réagir à la maltraitance (bien qu’elle soit une preuve d’intelligence émotionnelle et qu’elle soit PHYSIQUEMENT appropriée) tend à diminuer l’estime de soi de la victime.
Si vous vous sentez peu sûre de vous, que vous réagissiez excessivement à la maltraitance ou de manière justifiée quand vous êtes trompée, que l’on vous ment, que vous êtes battue, que vous êtes sexuellement agressée ou menacée de mort, etc. C’est que votre esprit et votre corps expérimentent déjà les symptômes d’un trouble post-traumatique extrême.
Il y a également des chances que vous développiez une forme de Syndrome de Stockholm suite aux liens traumatiques tissés avec votre agresseur. Quand et si des liens traumatiques sont tissés, la biologie humaine a ses propres manières de s’exprimer.
Premièrement, si vous êtes saine d’esprit et de corps, vous aurez tendance à ne croire qu’en ce que vous voyez et entendez ainsi qu’en votre bon sens. Par exemple, si vous attrapez votre partenaire en train de vous tromper mais qu’il vous en fasse porter la faute ; si quelqu’un tente de vous convaincre que votre agresseur vous aime à sa manière ; ou si l’on vous dit que les agressions physiques sont pour votre propre bien.
Plus sérieusement, si vous les croyez, vous vivrez probablement bientôt avec une fatigue surrénale ainsi qu’avec une forme puissante et envahissante d’anxiété sociale.
La liste de troubles anxieux qui suit a été établie par la Clinique Mayo. L’Organisation Américaine pour la Santé fait état des maladies les plus communément rencontrées ci-dessous :
- L’agoraphobie est un trouble anxieux qui vous pousse à avoir peur et à éviter le plus souvent les endroits ou situations susceptibles de vous faire paniquer, de vous faire vous sentir piégé, impuissant ou honteux.
- Le trouble anxieux dû à un état pathologique se caractérise par des symptômes d’anxiété intense ou de panique causés par un problème de santé physique.
- Le trouble anxieux généralisé se caractérise par une anxiété extrême et persistante ainsi que par une inquiétude liée aux activités ou événements — même ordinaires et routiniers. L’inquiétude est disproportionnée par rapport aux circonstances réelles, difficile à contrôler et affecte votre santé physique. Ce trouble s’accompagne souvent d’autres troubles anxieux ou de troubles dépressifs.
- Les troubles paniques se caractérisent par des épisodes répétés d’anxiété intense et soudaine, de peur ou de terreur qui culminent en quelques minutes (crises de panique). Vous pouvez ressentir une impression de mort imminente, manquer de souffle, avoir des douleurs dans la poitrine, un rythme cardiaque accéléré ou des palpitations. Ces crises de panique peuvent vous conduire à redouter de nouvelles crises et ainsi à éviter des situations les ayant précédemment provoquées.
- Le mutisme sélectif est chez l’enfant un échec systématique à parler dans certaines situations, dans le cadre scolaire par exemple, alors qu’il parle parfaitement dans d’autres situations comme à la maison avec des proches. Cela peut créer des problèmes dans la scolarité, le milieu professionnel ou sur le comportement social.
- La névrose d’abandon est un trouble infantile caractérisé par une anxiété excessivement élevée par rapport à l’âge de l’enfant et liée à la séparation d’avec un parent ou toute autre personne ayant joué un rôle parental.
- La phobie sociale implique de hauts degrés d’anxiété, de peur et d’évitement des situations sociales en raison d’un sentiment d’embarras, de gêne et d’inquiétude vis-à-vis du jugement potentiellement négatif d’autrui.
- Les phobies spécifiques se caractérisent par une anxiété majeure lors d’une exposition à un objet ou à une situation spécifique que l’on aurait souhaitée éviter. Chez certaines personnes, les phobies provoquent des crises de panique.
- Les troubles anxieux dus à l’usage de substances se caractérisent par des symptômes d’anxiété intense ou de panique résultant directement d’un abus de drogues, de la prise de médicaments, de l’exposition à une substance toxique ou de l’arrêt de drogues.
- Autres troubles anxieux déterminés ou non-déterminés. Il s’agit de termes renvoyant à des troubles anxieux ou phobies ne remplissant pas exactement les critères propres aux autres troubles anxieux mais étant assez importants pour provoquer stress et perturbations.
Les agresseurs actifs et favorisant l’action d’autres agresseurs aiment dire à leurs victimes qu’elles sont socialement, émotionnellement ou intellectuellement déficientes. Ils adorent user des faiblesses de leurs cibles et une fois confrontés à leurs comportements, ils n’aiment rien de plus que de jouer les victimes.
Plus extrême est le trouble de la personnalité, plus les prédateurs sociaux aimeront blesser, humilier et dominer les autres individus.
Ils n’espèrent pas seulement que leurs « sources d’alimentation narcissique » jouent les esclaves de leur personnalité borderline, ils attendent aussi une obéissance totale et sans réserve de la part du bouc-émissaire choisi, sur lequel ils réclament une maîtrise complète ainsi qu’un droit de « jeu » exclusif.
Les personnes piégées dans le CYCLE DE LA VIOLENCE NARCISSIQUE ont tendance à réaliser que quelque chose ne va pas avec les exigences d’une personnalité borderline. Cependant, à moins de n’être éduqué à l’identification des signes indiquant une personnalité borderline ou un agresseur égocentrique et d’être conscient des violences verbales et tactiques de manipulation mentale, les prédateurs tiennent des discours d’une telle logique qu’ils apparaissent à leurs victimes non averties extrêmement convaincants.
Si la victime fait l’erreur de renverser les statistiques en présumant que tous les êtres humais — Y COMPRIS LES PERSONNALITÉS BORDERLINES ET LES PENSEURS VERTICAUX — ont les mêmes valeurs fondamentales qu’environ 75 à 80 % de la population mondiale, c’est exactement à ce moment que la confusion s’installe et que les agresseurs peuvent commencer à mettre en place leurs tactiques de manipulation psychologique.
Les personnes exposées à des violences physiques, à des agressions sexuelles, à des violences verbales, à des abus financiers, à des persécutions sociales et aux mots déshumanisants choisis par des sadiques cherchant à persécuter les autres ont tendance à développer une forme extrême d’anxiété, un stress maladif et une large confusion entre leur conscience positive d’elles-mêmes et les attaques constantes des harceleurs et manipulateurs.
Si vous êtes harcelée, maltraitée, malmenée au travail, si des membres de votre famille vous embêtent et font preuve d’un comportement borderline ou si un ex a fait une chose étrange comme tenter de nuire à votre réputation ou pire …
Ou si vous vous sentez littéralement écrasée par le poids d’un monde hostile et aux tendances narcissiques …
Vous n’êtes pas la seule à reconnaître qu’un tel environnement peut nuire à votre santé. Les violences verbales peuvent provoquer des dommages neurologiques notamment aux parties de votre cerveau responsables de la cognition. La fatigue corporelle est provoquée tandis que le fonctionnement du corps est appauvri, par la peur survenant après la prise de produits chimiques toxiques.
C’est très sérieux.
Des maladies potentiellement mortelles ont tendance à se développer chez les individus se sentant PIÉGÉS par un agresseur (incapables de s’échapper) ou tenus en otage par des esprits toxiques recherchant en silence à opprimer leurs cibles et à contrôler la peur de leurs « marionnettes » et des personnes les entourant.
[Les agresseurs ont tendance à se mettre en colère vis-à-vis de toutes personnes offrant de l’aide ou un soutien social à leurs victimes. Ce faisant, ils isolent socialement leurs victimes tout en les humiliant et en les terrorisant ; d’autant plus si les autres choisissent la passivité en permettant à l’agression de se produire, laissant la personne ciblée d’autant plus vulnérable aux situations manifestes (ou clandestines) d’abus.]
Plus vite le personnel de santé réalisera qu’un patient souffrant de maladies liées au stress et présentant des symptômes psychiatriques qui s’expriment via des symptômes physiques parce qu’il est probable que ce dernier ait été exposé à des abus narcissiques continus ou a un environnement maltraitant ; au plus tôt les êtres humains pourront mettre un terme à la crise sanitaire commençant à contaminer la plupart des nations modernes.
Pourquoi mettre un terme à une relation peut être la meilleure chose pour vous
Il s’est avéré que le Prince charmant n’était en fait rien d’autre qu’une définition plutôt fidèle du psychopathe. Voilà ce qui t’attend si tu restes dans une relation amoureuse avec un homme toxique!