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Je t’offre ma dernière danse et te laisse contempler de loin tout ce que tu as voulu ignorer

Je t’offre ma dernière danse et te laisse contempler de loin tout ce que tu as voulu ignorer

Je t’aimais,

Mais j’ai décidé de m’aimer plus que tu n’as jamais voulu m’aimer.

Je t’ai donné tout ce que j’avais.

J’ai essayé si fort de t’aider…

J’ai tenté de te faire comprendre que tu n’avais rien à craindre, mais je me suis rendu compte que l’homme que j’aimais avant avait en fait disparu depuis longtemps.

Tu t’es en quelque sorte perdu en cours de route et tu es devenu celui qui n’a plus fait que prendre sans jamais rien donner.

Je t’aimais,

Mais tu ne mérites plus mes larmes.

Comment aurais-je pu rester avec toi alors que tu es la cause de ces chagrins ?

Tu étais censé essuyer les larmes de mon visage, tu étais censé les embrasser… Et plus que tout, tu étais censé ne pas être à leur origine.

Je t’aimais,

Mais tu ne mérites plus mon dévouement.

J’ai enfin fini par comprendre qu’il était inutile de te donner tout mon temps, tout mon amour, tout de moi, juste parce que je pensais pouvoir te réparer, t’aider à guérir de tes histoires précédentes.

Je sais enfin que ce n’était pas à moi de le faire.

Je n’étais pas censée donner des parties de moi pour te compléter et me retrouver vide de l’intérieur, je n’étais pas censée me perdre pour que tu puisses te retrouver.

Penser que j’étais celle dont la responsabilité était de soigner ton cœur blessé n’était pas très malin.

Ce n’est pas parce que tu étais endommagé que je devais l’être aussi.

Je t’aimais,

Mais tu ne mérites plus mon cœur.

Tu ne méritais pas mon amour et tu ne méritais pas de partager mes bonheurs ou mes douleurs.

De toute façon, tu  aurais été incapable de les apprécier.

Tu ne méritais plus mon corps, mon esprit ou mon âme.

Tu m’avais tenue pour acquise et rares étaient les fois où tu t’étais battu pour moi.

Tu ne m’as pas montré que tu étais prêt à t’engager avec moi, que tu étais prêt à t’engager pour nous.

Je t’aimais,

Mais tu as juste continué à prendre et à prendre encore des parties de moi sans même voir que cela m’épuisait.

Tu m’as utilisée comme si je n’étais qu’une poubelle dans laquelle tu pouvais déverser tes problèmes et tes malheurs, sans jamais montrer la moindre empathie ou la moindre pensée à l’égard de mes propres problèmes.

J’étais cassée aussi tu sais. J’étais triste aussi. J’avais aussi besoin de toi.

T’es-tu jamais rendu compte de la douleur dans mes yeux ?

Y a-t-il jamais eu un moment dans notre relation où tu m’as vraiment vue, reconnue ?

Pas comme étant la femme qui n’était là que pour t’aider, mais comme étant la femme qui t’aimait de tout son cœur, la femme qui était prête à passer le reste de sa vie avec toi.

La femme qui avait sa propre histoire, son propre passé et ses propres espoirs et rêves ?

Peut-être que c’était juste plus pratique pour toi de m’avoir dans ta vie…

Je méritais pourtant plus que de n’être juste là quand tu avais besoin de moi.

Je méritais quelqu’un qui allait vouloir de moi, qui allait vouloir passer du temps avec moi, qui allait faire de son mieux pour mettre un sourire sur mon visage.

J’ai vu les pires côtés de toi. J’étais avec toi quand tu étais grossier.

Distant. Manipulateur. Amer.

En colère contre le monde. Je t’ai entendu mentir et je t’ai vu me décevoir maintes et maintes fois.

J’aurais pu décider que tu étais trop imparfait pour aimer et être aimé, mais j’ai voulu te laisser une chance.

Je te voulais, même s’il y avait des choses sur lesquelles tu devais travailler et même si tu étais loin d’être parfait.

Tu n’as vu que les meilleurs côtés de moi et cela ne t’a visiblement pas suffit

Je ne sais pas ce que j’aurais pu faire d’autre pour t’impressionner.

Chaque fois que nous étions ensemble, j’ai essayé d’être sympa, douce, marrante, légère, sensuelle, sexuelle…

Je me suis assurée que tu ne voies que la meilleure version de moi-même.

Je ne te laissais jamais me voir en colère, je modérais mes propos pour ne pas blesser tes sentiments.

J’ai fait attention au maximum à la façon dont je te parlais afin que nous ne nous retrouvions jamais à nous disputer inutilement.

Je me suis assurée, même quand j’étais énervée contre toi, de ne pas trop exprimer de reproches. D’être indulgente, accommodante.

J’ai gardé ma jalousie pour moi. Je me suis empêchée de te poser un million de questions sur les autres filles avec lesquelles tu discutais.

Je ne voulais pas t’interroger, te traiter comme si tu faisais quelque chose de mal par défaut et j’ai pensé que si je te donnais suffisamment d’espace, tu finirais par voir que j’en valais la peine.

Tu n’as vu que les meilleurs côtés de moi, mais c’était peut-être bien ça le problème.

J’aurais peut-être dû te laisser voir le vrai moi au lieu de la version parfaite.

Peut-être que j’aurais dû pleurer devant toi et sortir les grands mots quand tu m’aurais blessée. J’aurais peut-être dû être plus directe, plus authentique.

J’ai voulu faire abstraction de nos défauts et prendre soin de toi, de nous

M’occuper de ton ménage (laver le sol, la vaisselle, le linge, …), être la parfaite petite femme d’intérieur et plier ton linge, te concocter de bons petits plats pour quand tu rentrais du travail après moi… Tout ça me semblait normal dans un premier temps.

J’ai voulu être à l’aise avec toi, excitante aussi.

Te souviens-tu de ce moment où j’avais préparé des cookies en t-shirt, petite culotte et chaussettes hautes, dans l’idée de passer une soirée tendresse et chocolat avec toi ?

J’étais tellement concentrée sur ma préparation que tu aurais pu te faufiler derrière moi, m’enlacer et me faire danser sur notre morceau préféré… Tu m’aurais rendue folle de désir.

J’ai voulu être les bras dans lesquels tu pouvais trouver refuge après une mauvaise journée.

J’ai voulu être un amour protecteur, qui aurait gardé ton cœur et ton esprit sauvage en sécurité.

Mais au lieu de tout cela, c’est toi qui me faisais pleurer.

Tu es celui dont les actes m’ont brisé le cœur un peu plus chaque jour…

À chaque fois que tu m’as laissée m’endormir seule ; à chaque fois que tu m’as laissée aller au lit en pensant que je n’étais qu’une moins que rien ; à chaque fois que tu m’as laissée m’éloigner, prendre mes distances, sans même tenter de me récupérer, car tu pensais que je reviendrais de moi-même. Et tu avais raison…

Mais tu as perdu ma confiance et mon respect et ça a tout changé

Tu ne mérites plus mon affection ni mon engagement, tu ne mérites plus mon attention.

Mes sentiments pour toi n’ont pas disparu du jour au lendemain, mais mon respect oui.

Je suis enfin prête à admettre que c’est la fin de notre histoire d’amour.

J’aimerais pouvoir dire que tu méritais mieux, mais ce serait mentir.

JE mérite mieux que toi et en te laissant partir, je me donne une chance d’être plus heureuse.

Je ne laisserai pas mon chagrin me définir et je garderai la tête haute.

Tu as peut-être brisé mon cœur, mais mon esprit lui est toujours intact.

Je vais continuer à avancer et je retrouverai quelqu’un qui m’aimera à ma juste valeur.

Je t’aimais,

Mais tu m’as fait trop mal et même si tu me manqueras malgré tout, je sais que je ne mérite plus ce chagrin et cette énergie perdue, que je ne l’ai jamais mérité.

Depuis trop longtemps je laisse les hommes contrôler mon bonheur et maintenant il est temps pour moi de te souhaiter bonne chance et pour moi, de reprendre le contrôle de ma vie et de tirer les leçons de mes erreurs.

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