Dans ma vie, j’ai déjà beaucoup souffert. Comme tout le monde. Chacun a connu son lot de malheurs. Je crois qu’en grandissant, on découvre tous à quel point la vie peut-être douloureuse.
Mais comment connaître le bonheur si l’on m’a jamais connu la douleur ? Comment connaître la couleur si l’on n’a jamais pu la comparer au noir ? Comment savoir ce qu’est la joie si l’on n’a jamais expérimenté la misère ?
Bref, je crois comme vous voyez où je veux en venir. Je crois que le principal, c’est d’être positif. Il faut se dire que nos souffrances sont un peu comme une piqûre de rappel.
Elles nous signifient que nous sommes toujours en vie.
Elles nous rappellent que nous disposons tous de notre libre arbitre.
Nous avons le plein contrôle de nos vies, de ceux qui en font partie et de ceux qui doivent en sortir quand ils nous rendent malheureux !
Le bonheur n’est pas un cadeau du ciel. On ne le reçoit pas comme par magie : on se le crée. Dans une certaine mesure, le bonheur est un choix. Un choix que l’on fait en fonction de estime que l’on a de soi et de ce que l’on pense mériter ou non.
Nos mauvaises décisions résultent souvent de notre tendance à nous déprécier. Si l’on s’engage dans des relations nocives ou bancales, c’est souvent parce que l’on se dit que c’est tout ce que l’on mérite.
Et il est certain que prendre conscience de ce que l’on vaut est le fruit d’un long travail, d’un processus qui peut parfois durer une vie tout entière.
Pourtant, vous et moi méritons le meilleur.
Nous nous torturons. Nous pleurons. Nous réfléchissons, encore et encore. Nous analysons. Nous observons. Nous entendons. Nous ressentons, etc.
Mais nous oublions tant d’autres choses… Rire. Se reposer. Prendre le temps. Voir. Écouter, etc. Et quel dommage !
Quels que soient nos principes, nos valeurs et notre morale, certaines personnes trouveront toujours le moyen de profiter de nous. De même que certains finiront toujours par nous laisser tomber.
D’ailleurs, ça commence très souvent par un « il faut qu’on parle ». Ou plutôt, ça se finit comme ça. Puis on pleure, la tête enfouie dans l’oreiller, la porte fermée, recluse pour que personne n’entende.
Les sanglots, l’incapacité de stopper ces larmes qui coulent à flots et personne n’entend. Jamais personne ne sait.
Vous pouvez l’éviter !
Vous pouvez vous épargner tout ceci. Et vous vous devez au moins ça. Pour votre propre bien et pour que vous puissiez avancer.
Évitez les histoires qui se terminent par « il faut qu’on parle ».
Vous ne parlerez qu’avec ceux qui auront fait le choix de rester. Parce que finalement, ce n’est pas si compliqué que ça. C’est au contraire très simple. Ça tient en quelques mots et ça ne prend que quelques secondes.
Faites ce choix-là. Pour vous. Choisissez celui qui ne vous dira jamais « il faut qu’on parle ». Surtout, oubliez ceux qui refusent d’être là pour vous.
Et surtout, apprenez qu’il suffit de quelques mots pour signifier votre valeur. Sachez dire aux autres et à tous ceux qui vous entourent que vous êtes quelqu’un de formidable et que vous ne prendrez même pas la peine de démarrer une histoire si elle est vouée à l’échec et à se terminer par un « il faut qu’on parle ».
Vous méritez bien mieux qu’un texto de ce genre.
Vous ne pouvez pas effacer les souffrances et les douleurs du passé. Mais vous pouvez choisir d’éviter qu’elles se reproduisent. Pensez d’abord à vous.
Pourquoi mettre un terme à une relation peut être la meilleure chose pour vous
Il s’est avéré que le Prince charmant n’était en fait rien d’autre qu’une définition plutôt fidèle du psychopathe. Voilà ce qui t’attend si tu restes dans une relation amoureuse avec un homme toxique!