Pourquoi voyons-nous tant de médias pousser l’agenda de la transidentité ?
Je suis d’accord que tout le monde doit se sentir accepté et aimé pour qui il est.
Je suis aussi d’accord que l’on doit faire preuve de tolérance et de compréhension pour toutes les personnes, quelle que soit leur identité ou leur sexualité.
Mais j’ai l’impression que les réseaux sociaux et les informations, en général, font l’apogée de la transidentité.
Au nom de la liberté des enfants et de l’acceptation de soi, on promeut des changements et des styles de vie qui peuvent être dangereux.
Ne me dites pas qu’il est normal qu’un garçon de trois ans déclare qu’il est une fille et que ses parents l’autorisent à entamer une thérapie de transition.
L’autre jour, j’ai écouté le podcast d’une personne non-binaire.
Deux femmes qui sont en couple se déclarent non-binaires et elles ont décidé d’avoir des enfants par FIV.
Les deux enfants qu’elles ont sont nés comme des filles, mais c’est là que le problème naît pour moi.
Avant l’âge de quatre ans, leurs deux enfants ont déclaré qu’elles n’appartenaient pas à leur genre.
Ainsi, l’une de ces fillettes a dit qu’elle s’identifiait comme un garçon et l’autre qu’elle s’identifiait à un individu non-binaire.
Si la discussion était sur le genre et l’identité de deux adolescentes ou de deux personnes adultes, je pourrais comprendre et j’écouterais les arguments.
Mais les deux mamans affirment que leurs enfants ont choisi leurs identités avant l’âge de quatre ans et qu’elles vont aider leurs fillettes à vivre leur vérité.
Je suis une grande fan des parents qui soutiennent et aiment inconditionnellement leurs enfants, mais ceci relève de la stupidité.
Selon moi, un enfant de trois ou quatre ne peut même pas comprendre le concept de l’identité de genre.
À cet âge, les enfants changent d’avis plusieurs fois par jour pour la plus simple des choses.
Alors, je ne vois pas comment on peut accepter l’idée que des enfants de cet âge prennent des décisions aussi importantes.
Rappelons-le : si une fille décide qu’elle est un garçon, cela entraîne un grand nombre de changements.
Elle doit suivre des traitements et des thérapies pour s’identifier à sa nouvelle identité.
Pour moi, les parents qui autorisent leurs enfants à faire cela à cet âge sont non seulement toxiques, mais également abusifs.
Avant l’âge de dix-huit ans, les enfants ne peuvent pas conduire, ils ne peuvent pas boire ou fumer et ils ne peuvent pas se faire un tatouage.
Pourquoi ?
Parce que les adultes veulent les protéger et leur éviter des conséquences désastreuses pour le reste de leur vie.
Et les parents qui autorisent ce type de comportement peuvent avoir des problèmes avec les services sociaux.
Par contre, si vous acceptez de donner des traitements chimiques ou de faire subir une opération de changement de sexe à votre enfant, vous êtes un héros.
Vous êtes un parent compréhensif qui veut le bonheur de son enfant.
Pour moi, c’est de l’abus pur et simple !
Comprenez bien que les parents musulmans de France qui veulent faire circoncire leur enfant doivent obtenir l’autorisation d’un médecin.
Beaucoup doivent même mentir et dire que l’enfant souffre d’une infection.
Pourquoi ?
Parce que le gouvernement français considère cela comme barbare alors que c’est une tradition vieille comme le monde.
Et il est prouvé qu’il y a de nombreux bénéfices médicaux à cette procédure.
Par contre, il n’est pas acceptable de stopper un enfant de quatre ans à s’allonger sur une table d’opération qui va complètement changer son genre POUR LE RESTE DE SA VIE.
Vous ne pouvez pas me convaincre que c’est normal ou même logique.
Si vous suivez les réseaux sociaux, vous avez sûrement vu des milliers de commentaires de parents qui critiquent, jugent et honnêtement détruisent les mamans qui décident de faire percer les oreilles de leurs petites filles.
- Elle n’est pas en âge de consentir !
- Pourquoi changer son corps à jamais sans son accord ?
- Qu’est-ce qui te donne le droit de décider pour elles ?
Vraiment ?
On est choqué par la maman qui décide de percer les oreilles de sa fille, mais on accepte celle qui force son enfant à subir une lourde opération qui va potentiellement détruire sa vie.
Avez-vous entendu parler des problèmes des personnes qui ont décidé de changer de genre ?
Les personnes qui ont subi une transition de genre peuvent être confrontées à divers défis, regrets ou difficultés.
Elles peuvent être victimes de discrimination, de préjugés et de stigmatisation sociale de la part de leur famille, de leurs amis, de leurs collègues et de la société en général.
Cela peut entraîner un sentiment d’isolement et de détresse.
Certaines personnes peuvent même s’éloigner de leur famille en raison de leur transition de genre, ce qui peut entraîner des relations tendues et des difficultés émotionnelles.
Mais les problèmes vont bien plus loin…
La dysphorie de genre et les défis liés à la transition de genre contribuent à des problèmes de santé mentale, tels que la dépression et l’anxiété.
L’accès à des soins de santé mentale adaptés peut s’avérer difficile pour certains.
Les chirurgies d’affirmation du genre et les thérapies hormonales peuvent comporter des risques et des complications potentielles.
Ainsi, des regrets peuvent découler d’une insatisfaction à l’égard des résultats ou des changements physiques.
Les frais médicaux associés à la transition de genre, y compris l’hormonothérapie, les interventions chirurgicales et les soins de santé continus, peuvent être importants et entraîner des difficultés financières pour certaines personnes.
Ensuite, les changements dans les documents juridiques (par exemple, les changements de nom et de marqueur de genre sur les pièces d’identité) sont difficiles et certaines personnes peuvent avoir des difficultés à s’y retrouver dans ces procédures.
Enfin, la discrimination sur le lieu de travail peut entraîner la perte d’un emploi ou des difficultés à en trouver un.
Le regret de la transition
Le manque d’informations, de conseils ou de soutien avant de prendre la décision de transitionner est un véritable problème.
Un consentement éclairé et des évaluations psychologiques complètes sont importants pour s’assurer que les individus font un choix éclairé.
La pression de la famille, de la société ou des pairs peut parfois influencer la décision d’une personne de faire une transition.
Si une personne effectue une transition parce qu’elle se sent contrainte ou poussée à le faire, elle risque de regretter sa décision par la suite.
Des attentes irréalistes quant aux résultats de la transition, comme le fait de croire qu’elle résoudra complètement tous les problèmes ou garantira le bonheur, peuvent entraîner des déceptions et des regrets.
Pour les personnes qui subissent une chirurgie d’affirmation du genre, l’insatisfaction à l’égard des résultats chirurgicaux peut entraîner des regrets.
Donc, il est essentiel d’avoir des attentes réalistes quant aux résultats de l’opération.
L’identité de genre peut être complexe, et certaines personnes peuvent découvrir que leur identité de genre est plus fluide qu’elles ne le pensaient au départ, ce qui les amène à regretter la permanence de certains aspects de la transition.
Alors, les médias sont-ils responsables ?
Les médias et les parents obsédés par la poursuite des tendances sont complètement responsables !
Après tout, les médias dictent les attitudes et les perceptions de la société à l’égard des questions de genre et de transgenre, ce qui peut avoir des conséquences négatives.
Ces informations créent beaucoup de confusion chez les enfants !
Cette visibilité peut être positive, car elle peut contribuer à réduire la stigmatisation, à promouvoir la compréhension et à fournir des modèles positifs aux jeunes transgenres.
Cependant, elle peut également donner l’impression que la transition est plus courante ou qu’elle est la seule option pour les personnes souffrant de dysphorie de genre, ce qui pourrait inciter un plus grand nombre de personnes à chercher à effectuer une transition.
Ainsi, de nombreuses personnes qui ont des troubles mentaux ou qui ont des problèmes personnels peuvent croire que ceux-ci proviennent de leur genre.
De plus, dans certains cas, les médias simplifient à l’extrême des questions complexes liées au genre et à la transition, en faisant du sensationnel pour attirer l’attention.
Cela peut conduire à des malentendus et à une représentation irréaliste de l’expérience transgenre, ce qui peut contribuer à la confusion des jeunes.
La représentation médiatique des personnes transgenres se concentre souvent sur un ensemble restreint de récits, comme ceux des personnes ayant subi une transition médicale.
Cela peut donner l’impression que la transition est la seule voie possible pour ceux qui s’interrogent sur leur genre, alors qu’en réalité, l’identité de genre est une question complexe et personnelle avec de nombreuses expressions possibles.
Contagion sociale
L’effet de « contagion sociale » a suscité des inquiétudes : les jeunes, en particulier les adolescents, peuvent être influencés par leurs pairs, les médias sociaux ou les représentations médiatiques pour remettre en question leur identité de genre ou exprimer un désir de transition alors qu’ils n’ont pas forcément connu de dysphorie de genre persistante et cohérente.
Il est essentiel de faire la différence entre une véritable dysphorie de genre et une exploration temporaire, et les représentations médiatiques peuvent parfois brouiller cette distinction.
Les représentations médiatiques ne fournissent pas toujours des informations complètes et précises sur les complexités, les défis et les conséquences potentielles de la transition de genre.
Cela peut conduire les individus à prendre des décisions sans comprendre pleinement ce que cela implique.
Les personnes adultes confuses sont faciles à manipuler, alors imaginez les enfants !
Les médias poussent les enfants à changer de genre, car cela rapporte gros !
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