Oh, voilà une question que de nombreuses femmes se posent. En tout cas, d’après ce que j’ai compris lors de mes différentes relations amoureuses.
Beaucoup de mes ex me posaient des questions du genre, « est-ce que tu crois que je suis intelligente ? », « est-ce que tu penses que je serai une bonne mère ? » ou « est-ce que mon apparence est attirante ? ».
Honnêtement, nous les hommes, nous n’avons pas de réponses pré-construites. On ne pense pas à ces choses-là avant que les questions ne soient posées. Même si beaucoup de femmes pensent que les hommes ne s’intéressent qu’à leur apparence, je peux vous garantir que c’est faux.
Les qualités intrinsèques d’une femme sont beaucoup plus importantes. Mais une chose est sûre, la façon dont votre partenaire vous perçoit dépend de son propre caractère. En effet, il existe plusieurs types d’hommes.
Chacun de nous a une vision particulière des femmes. Que ce soient nos mères, nos sœurs, nos amies ou nos partenaires de vie. Et aujourd’hui, je vais vous révéler ce que chacun de nous pense, selon notre type de personnalité.
Mesdames, vous ne pourrez pas dire que vous n’avez pas été prévenues !
1. L’homme au regard doux
Un regard doux d’un homme sur une femme est probablement le plus souhaitable, car il est le plus proche de l’idéal d’un homme qui s’attend à voir une femme comme une partenaire de vie potentielle.
Cela prouve qu’il est prêt à l’aimer, peut-être même à l’épouser. Ce genre de regard chez un homme prouve qu’il a passé une enfance heureuse, aux côtés de parents aimants et attentifs. Sa mère était sûrement très impliquée dans la vie de famille et soutenait son mari.
2. L’homme au regard compatissant
Le regard compatissant d’un homme sur une femme révèle que c’est un homme sensible qui, dès sa plus tendre enfance ou plus tard, considérait sa mère comme une sorte de martyre (parfois vraie ou auto-martyre), déchirée de diverses manières par son mari (le père).
Sa place dans la famille était un peu celle d’un bouc émissaire.
Dans le cas d’un mariage avec une telle femme (comme l’était sa mère), deux possibilités sont communes. Soit le mari finira par devenir son père, par le mécanisme bien connu et répandu de « l’identification à l’agresseur ».
Soit, il corrigera véritablement et consciemment le mauvais comportement afin de ne pas devenir comme son père. C’est un peu une relation à double tranchant.
3. L’homme au regard méprisant
Lorsqu’un homme regarde une femme avec mépris, c’est de mauvais augure pour sa future vie conjugale ou extraconjugale. Il a ainsi appris à regarder toutes les femmes dès la petite enfance ou plus tard, car c’est ainsi que son père regardait sa mère.
Et pourquoi son père regardait sa femme comme ça ? Il s’agit le plus souvent d’un regard patriarcal de la femme. Malgré tous les progrès que nous avons fait, il y a malheureusement des hommes qui continuent à se comporter avec leurs épouses comme si elles étaient des objets qui lui appartenaient.
4. L’homme au regard effrayé
Le regard effrayé d’un homme sur une femme révèle un homme précaire – précaire tant dans l’amour que dans les relations sexuelles – à qui ni le père ni la mère n’ont permis dans l’enfance, avec leurs comportements conflictuels, d’acquérir une mesure suffisante de confiance en soi en tant qu’être spirituel.
Le « complexe de castration » bien connu pourrait apparaître chez un fils précoce, soit d’un père « castrant » grossier, soit d’un type de mère « castratrice ». Une femme pour un tel homme représente alors un danger constant.
Ces hommes restent définitivement célibataires ou choisissent inconsciemment le type de femme castratrice. Dans ce cas, comme dans tous les autres, une éducation réussie, moins réussie ou infructueuse dans la petite enfance déterminera la future relation d’un homme avec une femme.
5. L’homme au regard indifférent
Le regard indifférent d’un homme sur une femme signifie qu’il y a eu des obstacles dans le développement de sa vie érotico-sexuelle masculine : privé d’amour maternel, exposé à l’influence d’une mauvaise mère, fortement affecté par un amour raté à l’adolescence.
Après de tels traumatismes précoces similaires dans la vie d’un homme, ses besoins érotico-sexuels naturels peuvent conduire à diverses formes de comportement. Ainsi, il est possible que ce genre d’hommes haïssent les femmes, mais il est aussi possible qu’ils prennent un tournant radical dans leur vie sexuelle.
La vision indifférente des femmes chez les hommes est « naturelle » chez les eunuques. En effet, en cas de troubles organiques des hormones et de l’organe masculin pour les rapports sexuels et la fécondation, c’est le résultat incontestable.
6. L’homme au regard lubrique
La vision lubrique d’un homme sur une femme est avant tout destinée à sa conquête : agressive et sexuelle, ou d’abord sexuelle, puis agressive. L’instinct agressif chez un homme, son désir de possession et de pouvoir, est plus fort, plus durable et plus persistant que ses exigences impératives.
Il existe peu de vrais érotomanes (trouble de la pulsion sexuelle chez les hommes et les femmes nymphomanes) chez les deux sexes. Par conséquent, le désir sexuel de certains hommes cache leur désir passionné de posséder une femme qui souvent, au fil du temps, se transforme en un comportement imprudent sur la femme, y compris son « droit » à des rapports sexuels quand il le souhaite.
Bien que le désir de posséder, dans le cadre d’un instinct agressif (chez l’homme comme chez la femme), soit naturel, ce désir se transforme en perversion lorsqu’un homme, pour une raison quelconque, est devenu et reste infantile depuis l’enfance.
Il n’y a pas d’amour chez un homme avec un tel regard, d’où le danger pour lui de devenir simplement une bête sexuelle. L’obsession d’un tel homme pour le corps d’une femme (qui est aujourd’hui « aidée » par le climat sexuel du monde occidental) est dangereuse pour les hommes comme pour les femmes.
En effet, chez un homme, elle peut se transformer en névrose obsessionnelle sexuelle et, dans son esprit, la femme devient une poupée glaciale qui peut être achetée.
7. L’homme au regard « commercial »
Le point de vue commercial des femmes a commencé à prévaloir à partir de la révolution industrielle en Occident et de la montée du capitalisme, et de nos jours, il occupe une place presque prédominante dans la relation entre l’homme et la femme, réduisant facilement à la fois le besoin naturel d’amour et le besoin naturel d’avoir des relations sexuelles, le sexe opposé à une mesure commerciale qui se soucie principalement de l’utilité des relations entre les sexes.
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