En tant que parent, on fait tout pour protéger nos enfants des blessures, qu’elles soient physiques ou émotionnelles. Notre rôle est d’être leur soutien, leur guide et leur gardien. Pourtant, on ne peut pas les protéger de tout, car la plupart des expériences de la vie forgent le caractère.
Elles vous apprennent également beaucoup de choses ! Ainsi, il n’est pas non plus bon d’empêcher ses enfants de faire des erreurs ou de vivre certaines expériences. Malheureusement, beaucoup de parents modernes ne savent pas où poser des limites.
En effet, ils chouchoutent tellement leurs enfants que ceux-ci ne supportent pas de faire la moindre erreur, de vivre un échec ou de ne pas obtenir tout ce qu’ils veulent. Clairement, cette approche pose beaucoup de problèmes et rend les enfants inaptes à la vie.
Prenons l’échec en exemple ! Un enfant ne peut pas être le meilleur en tout, il est donc naturel qu’il fasse des erreurs ou échoue dans certains domaines. Est-ce la fin du monde ? Absolument pas ! Pourtant, depuis une décennie, on voit l’apogée des trophées de participation.
Ainsi, on ne couronne et on ne félicite pas seulement les enfants qui ont fait des efforts, investi des heures à s’entraîner et dû affronter des défis. Maintenant, on récompense tout le monde, simplement pour éviter qu’un enfant se sente blessé par le succès d’un autre.
C’est ce que Steph Wilson, une maman de TikTok, appelle un enfant ‘doux’.
L’une des expériences de son fils l’a poussée à bout et elle est venue se plaindre sur le Net. Le problème ?
Lors d’un match de football dans la cour de récréation, son fils a marqué des buts. A-t-il été félicité pour son talent ? Ses camarades ont-ils applaudi ses exploits ? Absolument pas, le jeune garçon a été réprimandé ! À sept ans, il a dû découvrir que le monde se plie aux pleurs des enfants gâtés et crache sur le talent et l’entraînement.
En effet, le directeur de son école a appelé sa maman pour lui dire que le jeune garçon jouait au football avec deux de ses camarades. L’un d’eux était gardien de but, alors que les deux autres tiraient des pénaltys. Jusque-là, tout va bien ! Steph ne comprenait pas où se trouvait le problème.
Eh bien, le garçon qui était gardien de but a tellement été bouleversé par les compétences de ses camarades qu’il s’est mis à pleurer. Lorsque leur maîtresse s’est approchée, il s’est plaint ! Avant de faire quoi que ce soit, la maîtresse a demandé à ce qu’on lui explique la situation en détails.
Elle voulait vérifier s’il y avait eu des taquineries, des moqueries, de la méchanceté ou de la violence. Que nenni ! Rien de tout cela, l’enfant était tout bonnement blessé par les buts que ses camarades ont marqués. La maîtresse aurait pu expliquer à l’enfant que cela fait partie du jeu, mais ce n’est pas ce qu’elle a fait.
Elle a envoyé les deux tireurs au bureau du directeur parce qu’ils étaient trop bons au football. Oui, vous avez bien lu !
Steph Wilson attribue directement le problème au fait que les parents élèvent des enfants gâtés, faibles et trop doux :
Si vous m’appelez pendant la journée d’école, il vaut mieux qu’il y ait eu une bagarre ou une blessure physique !
Ne m’appelez pas parce que les sentiments d’un enfant doux ont été blessés parce qu’un enfant est meilleur que lui en sport.
Permettre un comportement aussi dramatique ne fera qu’empêcher l’enfant d’apprendre de ses échecs et de ses erreurs. Au lieu de cela, il continuera à blâmer les autres et aura inévitablement du mal à relever les défis à l’avenir.
Il n’est certainement pas seul à vivre cette expérience, car de nombreux enfants peuvent avoir du mal à accepter la perte ou l’échec. Mais plutôt que de l’aider, lui et les autres enfants, à comprendre la valeur de l’esprit sportif, la maîtresse a réprimandé deux enfants innocents, renforçant ainsi l’irrationalité de l’enfant sensible.
Clairement, elle a raté l’occasion de les aider à comprendre une leçon de vie importante !
De plus, les parents de l’enfant ne parviennent pas à élever leur fils pour qu’il soit fort et équilibré :
Préparez vos enfants à pouvoir fonctionner dans le monde. Arrêtez de dorloter vos enfants !
Apprenez à vos enfants à avoir confiance en eux et à se comprendre émotionnellement !
Même si les enfants ont besoin d’être connectés à leurs côtés sensibles, un bon esprit sportif est un élément important de la pratique d’un sport. Il est naturel que les enfants s’énervent lorsque l’équipe adverse continue de les surpasser, mais en fin de compte, ils doivent s’en remettre et tirer les leçons de cette expérience.
Les enfants doivent comprendre qu’ils ne gagneront pas tous les matchs et que cela fait partie de la vie.
Dans une vidéo de suivi, la maman a détaillé les conseils qu’elle a donnés à son fils suite à la situation, lui faisant comprendre la force qu’il peut acquérir en acceptant les défis auxquels il sera confronté dans la vie.
Nous perdons tout le temps, cela peut être le football pendant les récréations, ou autre chose.
Tu dois comprendre que tu ne seras pas le meilleur dans tout. Et tu ne peux pas être en colère contre quelqu’un parce qu’il est meilleur que toi !
Il est naturel que les enfants soient compétitifs en athlétisme, mais en fin de compte, ce n’est qu’un jeu conçu pour le plaisir et l’activité physique.
La pression de la compétition n’est pas pour tout le monde, mais elle peut potentiellement offrir de précieuses leçons sur la vie, l’échec et l’endurance. Il enseigne aux enfants non seulement la force physique, mais aussi la force mentale et émotionnelle, qui s’applique bien sûr à divers domaines de leur vie.
La mentalité de victime est un comportement acquis qui peut être beaucoup plus difficile à surmonter à l’âge adulte.
Chez les enfants, elle se manifeste lorsqu’ils se perçoivent constamment comme des victimes des circonstances, souvent sans assumer la responsabilité de leurs actes ou chercher des moyens de changer leur situation.
Cet état d’esprit découle de divers facteurs, tels que le comportement acquis auprès de parents qui adoptent une mentalité de victime, des expériences de traumatisme ou de négligence, ou un manque de compétences d’adaptation positives pour faire face aux difficultés.
Les enfants ayant une mentalité de victime présentent plusieurs comportements et schémas de pensée.
Ils blâment fréquemment les autres pour leurs problèmes, refusent d’assumer la responsabilité de leurs erreurs et croient que le monde est injuste et contre eux. Ils font également preuve d’une impuissance apprise, c’est-à-dire qu’ils se sentent incapables de surmonter les difficultés ou l’adversité.
Ces attitudes s’enracinent au fil du temps et façonnent leur vision du monde, affectant leurs interactions sociales, leurs résultats scolaires et leur bien-être général.
À l’âge adulte, les personnes qui ont intériorisé une mentalité de victime pendant leur enfance font face à plusieurs conséquences. Ainsi, elles éprouvent des difficultés dans leurs relations interpersonnelles, car leurs reproches constants et leur négativité mettent à mal les liens avec les autres.
Elles vivent aussi des difficultés sur le lieu de travail parce qu’on les perçoit comme manquant de responsabilité ou d’initiative. Cela a inévitablement un impact sur l’avancement de leur carrière et sur leur réussite professionnelle en général.
Sur le plan psychologique, les adultes ayant une mentalité de victime souffrent de stress chronique, d’anxiété et de dépression.
Alors, ils se sentent prisonniers de leur situation et éprouvent des difficultés à se libérer des schémas de pensée négatifs qui renforcent leur statut de victime. Cela entrave donc leur croissance et leur développement personnels, car ils sont réticents à prendre des risques ou à saisir des opportunités qui pourraient conduire à un changement positif.
Pour surmonter la mentalité de victime, il faut faire preuve d’introspection, de conscience de soi et de volonté de remettre en question les croyances négatives.
La thérapie ou le conseil peuvent aider les individus à reconnaître les origines de leur mentalité de victime, à développer des stratégies d’adaptation plus saines et à renforcer leur résilience.
Laissez-moi vous dire tout de suite, ce qu’aucune femme ne veut un jour, c’est devoir dorloter son… mari !
Ces personnes devront probablement prendre les mesures nécessaires pour désapprendre ce comportement toxique et se renseigner sur les façons décourageantes dont une mentalité de victime peut entraver leur croissance.
Les enfants font des crises de colère de temps en temps, mais c’est la façon dont les parents choisissent de combattre et de gérer ces crises qui améliorera la résilience de cet enfant. Si les parents ne parviennent pas à apprendre à leurs enfants à gérer ce comportement avec maturité et à répondre à chacune de leurs explosions théâtrales, la réalité les frappera sérieusement.
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Pourquoi mettre un terme à une relation peut être la meilleure chose pour vous
Il s’est avéré que le Prince charmant n’était en fait rien d’autre qu’une définition plutôt fidèle du psychopathe. Voilà ce qui t’attend si tu restes dans une relation amoureuse avec un homme toxique!