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3 Choses que j’avais promis de ne jamais faire en tant que maman…

3 Choses que j’avais promis de ne jamais faire en tant que maman…

Il était une fois, j’étais le parent parfait. Et puis j’ai eu un enfant !

Avant d’être maman, je regardais mes amis et les gens autour de moi qui ont des enfants…

Et je les jugeais !

Je les regardais faire des erreurs (selon mes critères) et je leur disais que je ne ferais jamais ce genre de choses.

La vérité est qu’avant de devenir parent, on pense que la parentalité est facile et que l’on peut poser nos règles et s’y tenir.

Sans expérience directe, il est compréhensible d’idéaliser la parentalité et de se concentrer uniquement sur les aspects positifs décrits dans les médias et la société.

De plus, la société romance souvent la parentalité, en mettant l’accent sur les joies et les récompenses et en minimisant les difficultés.

Cela crée des attentes irréalistes pour les futurs parents, les amenant à croire que le rôle de parent sera plus simple et plus satisfaisant qu’il ne l’est en réalité.

De nombreuses personnes n’ont qu’une exposition limitée aux réalités quotidiennes de la parentalité avant de devenir parents.

Elles peuvent avoir eu de brefs contacts avec des enfants ou avoir observé d’autres parents de loin, mais elles n’ont pas connu toute l’étendue des responsabilités qu’implique l’éducation d’un enfant.

Il y a aussi des raisons psychologiques pour lesquelles les gens sous-estiment les défis de la parentalité, comme le désir de répondre aux attentes de la société ou la peur de reconnaître les difficultés potentielles.

Ces facteurs contribuent à une vision optimiste de la parentalité qui ne reflète pas exactement la réalité.

On se fait des promesses qui ne sont réalisables !

Avant de devenir parents, on crée souvent des règles et on fait des promesses sur la base de connaissances théoriques ou d’idéaux.

Cependant, une fois que l’on devient parent et que l’on se confronte aux défis réels et à la complexité de l’éducation des enfants, on se rend compte qu’il n’est pas toujours possible ou pratique d’adhérer strictement à ces règles et à ces promesses.

L’éducation des enfants est un processus dynamique et en constante évolution !

Ce qui fonctionne pour un enfant ou une famille peut ne pas fonctionner pour une autre.

Les parents se rendent donc compte qu’ils doivent adapter leur approche de l’éducation en fonction de la personnalité, des besoins et des circonstances de leur enfant.

Cette flexibilité les amène à s’écarter des règles et des promesses qu’ils avaient faites avant de devenir parents.

De plus, la parentalité s’accompagne souvent de défis et d’obstacles imprévus que les gens n’avaient peut-être pas anticipés avant de devenir parents.

Ces défis peuvent aller de problèmes de comportement à des problèmes de santé, en passant par des pressions financières, etc.

Face à ces défis, les parents peuvent être amenés à revoir leurs règles et leurs promesses afin de mieux répondre aux besoins de leurs enfants et de leur famille.

La parentalité implique souvent de se fier à l’instinct et à l’intuition des parents pour prendre des décisions dans l’intérêt supérieur de l’enfant.

Ces instincts conduisent généralement les parents à s’écarter des règles et des promesses qu’ils ont faites avant de devenir parents, car ils privilégient avant tout le bien-être et le bonheur de leurs enfants.

Après tout, la parentalité est une expérience d’apprentissage, et les parents peuvent être amenés à réévaluer leurs croyances et leurs approches de la parentalité au fur et à mesure qu’ils acquièrent de l’expérience et des connaissances.

Ils se rendent compte que certaines des règles et des promesses qu’ils avaient faites avant de devenir parents étaient fondées sur des idées fausses ou des attentes irréalistes.

Pour que vous ne culpabilisiez pas, je vais vous avouer les trois promesses que j’ai brisées !

Dès que je suis devenue maman, j’ai compris qu’elles étaient impossibles à mettre en pratique.

1. Mes enfants ne dormiront jamais dans mon lit

La bonne blague !

J’ai enfreint cette règle IMMÉDIATEMENT.

Au bout de quelques jours, le bébé a commencé à avoir de fortes crampes et il nous a alors été plus facile de l’avoir avec nous.

Il a maintenant un an et quelques mois, il s’endort dans son lit la nuit, mais il se réveille avec nous tous les matins.

Comment ?

À un moment donné de la nuit (dans 99 % des cas), il commence à s’agiter, à pleurer dans son sommeil, et mon mari ou moi le plaçons dans notre lit.

C’est une petite personne qui dépend du contact humain, et à ce moment-là, il nous demande de lui tenir la main ou de le caresser.

Il n’y a rien de plus doux que lorsque le matin il nous saute joyeusement sur la tête.

Je vais être honnête : c’est aussi plus facile pour moi !

Je n’ai pas à me lever toutes les heures pour allaiter mon bébé ou pour vérifier s’il respire.

Il est avec moi et cela me rassure à tous les niveaux !

2. Je ne dirai jamais à mon enfant qu’il est beau

Mon but était d’éviter la vanité et de faire comprendre à mon enfant que l’apparence n’est pas la chose la plus importante.

En effet, il y a longtemps, j’ai lu des textes dans lesquels on affirmait qu’un enfant à qui on dit qu’il est beau, devient ensuite superficiel, obsédé par l’apparence, pense que tout est question d’apparence, etc.

On m’a toujours dit que j’étais belle, mais je ne suis pas superficielle.

Je ne suis guère obsédée par mon apparence, je peux vraiment sortir de chez moi habillée comme un clown.

J’ai d’ailleurs ma sœur bien aimée pour me rappeler que je ne ressemble à rien !

Un enfant ne sera superficiel que si vous lui apprenez à l’être, cela n’a rien à voir avec des compliments.

Les compliments sont même souhaitables, ils sont là pour renforcer la confiance en soi.

Je ne peux pas m’empêcher de lui dire qu’il est beau, quand il l’est.

C’est un bébé, il est adorable dans son pyjama avec des dinosaures et avec son sourire crispé.

3. Je ne publierai pas de photos de mon enfant sur Facebook et Instagram

J’ai même un hashtag unique pour lui sur Instagram !

Certes, je partage beaucoup moins de photos sur Facebook.

Bien sûr, les deux profils sont privés et accessibles uniquement aux personnes que je connais personnellement, je ne jouerais jamais avec ça.

Et oui, je ne publie pas 30 photos par jour !

Mon but n’est pas d’étouffer les gens, tout comme je ne veux pas que quelqu’un m’étouffe.

Je suis bien consciente des dangers du Net et des prédateurs qui courent sur les réseaux.

C’est pour cela que je fais de mon mieux pour protéger mes comptes et pour ne pas mettre en danger le futur de mon enfant.

Mais je ne peux pas m’empêcher de partager ses moments adorables avec ma famille et mes proches.

Je ne vois rien de mal à cela.

Quelles sont les promesses que vous avez rompues ?

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