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Selon Freud, voici les 3 Vérités à accepter pour être heureuse

Selon Freud, voici les 3 Vérités à accepter pour être heureuse

La grandeur de votre identité est déterminée par l’ampleur du problème qui peut vous déséquilibrer.

C’est ce que disait le célèbre psychiatre et fondateur de la psychanalyse, Sigmund Freud. Et si vous acceptez les trois vérités qui suivent, vous pourrez trouver votre propre bonheur.

D’ailleurs, pourquoi est-ce que vous êtes malheureuse ?

Le bonheur est la seule chose que nous cherchons toutes dans ce monde. Être vraiment heureuse est vraiment la raison pour laquelle vous faites ce que vous faites.

Il y a des choses que vous devez faire et d’autres que vous faites pour votre plaisir. Plus vous vous efforcerez de faire des choses pour votre plaisir plutôt que des choses que vous vous imposez, plus vous serez vraiment heureuse.

Bien qu’il n’existe pas de chemin unique qui vous mènera au bonheur, c’est à vous de déterminer ce qui vous rend heureuse et quelle route vous devez emprunter.

Il y aura des gens et des signes pour vous guider le long du chemin, mais en fin de compte, personne ne sera assis là avec une carte vous disant quel chemin vous devez prendre.

Finalement, tout dépend de qui vous êtes en tant que personne et des raisons pour lesquelles vous faites ce que vous faites.

Bref, pour être heureuse, vous devez définir ce que le bonheur signifie pour vous et ce que vous allez faire pour y parvenir.

Les millennials ont une perception biaisée de ce que signifie le bonheur et nous sommes donc une génération pleine de gens malheureux. Nous nous concentrons sur des choses qui n’ont pas d’importance, qui ne font que nous apporter plus de stress et nous font généralement tourner en rond.

Il est temps que nous comprenions ce qui nous rend heureux afin de pouvoir vivre une vie épanouie.

Voici les raisons pour lesquelles vous n’êtes pas heureuse :

  • Vous n’avez pas oublié votre ex

Il est temps de grandir et de tourner officiellement la page sur votre ex. Il n’y a pas besoin de laisser votre passé vous retenir, ce qui s’est passé est fait et ne le sera plus jamais. 

  • Vous vous comparez à tout le monde

Au lieu d’être le meilleur « vous » possible, vous perdez votre temps à essayer d’imiter les autres. C’est vraiment un gaspillage de la personne formidable que vous êtes, arrêtez de vous soucier de ce que les autres pensent de vous. 

  • Le travail que vous avez actuellement vous rend malheureuse

L’une des choses qui peuvent vous rendre malheureuse est de travailler à un poste que vous détestez. Il n’y a rien de pire que de se réveiller tous les matins pour se préparer à travailler à un poste que l’on ne supporte pas.

  • Vous souffrez du syndrome FOMO (fear of missing out)

Anxiété de ratage est une sorte d’anxiété sociale caractérisée par la peur constante de manquer une nouvelle importante ou un autre événement quelconque donnant une occasion d’interagir socialement. (Wikipédia)

Même si vous avez traversé toutes les épreuves, vous vous retrouvez toujours obligée de vous rendre à chaque événement avec les mêmes personnes, encore et encore. 

La FOMO a frappé la génération Y et c’est maintenant la raison pour laquelle nous allons aux événements en premier lieu.

  • L’université vous a laissé endetté et vous a fait perdre 4 ans de votre vie

Vous êtes toujours au chômage et il vous est difficile de trouver un emploi dans votre spécialité. Même si vous êtes allée dans une grande école et que vous avez passé des moments extraordinaires, cela n’a pas vraiment contribué à vous trouver un emploi. 

  • Vous essayez de faire trop de choses à la fois

Nous sommes toutes sur la voie de la réussite, et bien qu’il n’y ait pas une seule voie véritable, vous essayez de trouver une route qui vous mènera là où vous voulez être. C’est extrêmement stressant, car le temps joue contre vous et vous gaspillez beaucoup d’énergie à essayer de faire plusieurs choses.

  • Vous êtes simplement assise à attendre que quelque chose de grand se produise

La grandeur ne vient pas à celles qui attendent, donc vous devez vous mettre en avant. Si vous vous retrouvez à attendre que les choses arrivent, alors vous allez être une personne malheureuse.

  • Vous pensez qu’il existe un « partenaire parfait »

La vie n’est pas un film de Hollywood et nous n’avons pas toutes une vie heureuse. Vous ne pouvez pas vous asseoir avec une liste de contrôle en attendant que quelqu’un remplisse toutes vos exigences, ça ne marche pas comme ça. 

  • Vous n’appréciez pas les petites choses de la vie

La vie n’est pas toujours un fantasme génial où vous obtenez tout ce que vous voulez. Nous sommes tous des adultes et il est loin le temps où nous pouvions simplement demander des choses et les obtenir. 

  • Votre idée du bonheur est un peu irréaliste

Pour être heureuse, vous devez comprendre ce que le bonheur signifie pour vous en tant qu’individu. Le bonheur est un phénomène subjectif et il ne vient qu’à ceux qui ont une solide compréhension de ce qu’ils décrivent comme étant le bonheur.

  • Vous n’avez pas de rapports sexuels réguliers

Le stress s’accumule et c’est à vous de gérer votre niveau de stress. Il n’y a pas de meilleur sentiment que de pouvoir rentrer chez soi et se détendre après une journée stressante.

Qu’est-ce qui peut être plus apaisant que du sexe après une journée difficile ? Faites-le régulièrement et vous constaterez une amélioration de votre humeur et de votre énergie tout au long de la journée.

Maintenant que vous savez pourquoi vous êtes malheureuse, voici les trois vérités de Freud qui peuvent changer votre vie. Et si les adopter était votre chemin le plus court vers le bonheur ?

1. La vie est difficile pour tous, mais à une manière différente

« La vie est une série de problèmes, suivis de moments de calme et de détente », a déclaré Freud.

« Les moments difficiles font partie du monde dans lequel nous vivons. Saurions-nous ce qui est beau, sans savoir ce qui est moche ? Saurions-nous ce qu’est l’honnêteté, sans la malhonnêteté ?

Tout dans le monde est double et fait partie d’une paire : joie et peine, vie et mort, victoire et défaite.

Nos vies en sont remplies, et pour chaque coup, on a notre propre réponse – il ne faut pas avoir peur des ennuis, quels qu’ils soient. Tout peut être changé. »

2. Toutes les vies n’ont pas un sens précis, mais chacun peut trouver sa mission de vie

Lorsqu’on a demandé à Freud quel était le sens de la vie, il a répondu : « En rien et en tout. Le terme sens de la vie n’existe pas, mais on ne doit pas désespérer à cause de ça pour autant.

Cela arrive bien trop souvent.

Chacun est libre de donner un sens à sa vie, de l’étude des étoiles à la jouissance. Peu de gens se rendent compte que la force d’une personne réside dans le fait qu’elle peut rompre avec son sens animal de l’existence (survivre) et donner un sens à ce qu’elle aime.  »

3. Personne ne peut vous apporter le bonheur, vous en êtes la seule personne responsable

 » Savez-vous pourquoi les gens sont déçus par les autres ? Ils leur donnent du pouvoir sur leur vie.

« C’est l’amour de ma vie, je serai heureux !  » – disent-ils à dix-sept ans.  » Tu as volé mes meilleures années et ruiné ma vie ! » – disent-ils un peu plus tard.

C’est parce que nous avons l’habitude de donner le pouvoir sur nos vies aux autres.

« J’ai passé toute ma vie à m’occuper de mes enfants, mais ils sont partis et ils ne me rendent pas visite ». Ou bien, on dit « Mes amis ont changé ».

Pour une raison quelconque, nous pensons que quelqu’un nous aidera à vivre plus heureux et nous sommes donc déçus. »

« Nous n’aspirons pas à la vérité sur nos vies, nous voulons l’illusion que quelqu’un ou quelque chose peut l’améliorer : le temps, les gens, les politiciens – peu importe, mais pas nous !

Nous sommes constamment exigeants et en colère contre les autres, mais jamais contre nous-mêmes. Il est temps que les gens se rendent compte qu’il est temps d’arrêter de laisser leur humeur et leur vie entre les mains de ceux qui ont du mal à vivre leur propre vie.

Nous ne sommes pas des moitiés, nous sommes un tout par nature ! – C’est juste un signe que vous devez faire de vous, une personne à part entière. » dit Freud.

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