La dépendance affective est un trouble mental et un état psychologique dangereux.
En effet, à cause de ce besoin excessif de se sentir aimé et reconnu par une personne, vous acceptez beaucoup de choses.
Or, ces choses sont loin d’être positives !
Dans la petite enfance, vos parents ont sûrement ignoré vos besoins primaires ou ils ont été abusifs.
Vos relations amoureuses passées ont très certainement étaient abusives.
Maintenant, vous avez une peur viscérale de l’abandon et du rejet.
Définition
La dépendance affective, ou la codépendance émotionnelle, désigne un modèle de comportement dans les relations où une personne dépend excessivement du soutien émotionnel et de l’approbation d’une autre.
Ce comportement est particulièrement présent dans les relations amoureuses avec un pervers narcissique.
À quoi ressemble la dépendance affective ?
La définition de ce trouble est assez explicite, mais il est important de reconnaître les symptômes.
Un dépendant affectif agit de manière particulière presque malgré lui.
En effet, cette personne n’est pas consciente de son trouble mental ni de son attachement excessif.
Les principales caractéristiques de la dépendance affective sont les suivantes :
1. Dépendance excessive
Les personnes codépendantes se reposent entièrement sur l’approbation et la validation de leur partenaire pour leur estime de soi et leur identité.
Leur humeur et leur bien-être sont complètement influencés par les actions ou l’état émotionnel de l’autre personne.
2. Difficulté à fixer des limites
Lorsqu’une femme est dépendante de son partenaire, elle n’est pas en mesure de fixer et de maintenir des limites émotionnelles saines.
Elles ont un fort désir de plaire aux autres, même au détriment de leurs propres besoins et de leur bien-être.
3. Peur du rejet
S’il y a bien une chose qui crée de l’anxiété chez une femme codépendante, c’est la peur du rejet ou de l’abandon.
Cette peur la pousse à se donner beaucoup de mal pour éviter les conflits ou les désaccords, sacrifiant ainsi ses propres besoins.
4. Manque d’autonomie
Les personnes codépendantes ont du mal à se sentir autonomes et individuelles.
Leurs propres désirs et objectifs sont éclipsés par les besoins et les désirs de l’autre personne.
5. Comportement facilitateur
Dans certains cas, la dépendance affective implique de permettre à l’autre personne d’adopter des comportements destructeurs, tels que la dépendance ou des habitudes malsaines, dans le but de maintenir la relation.
Qu’est-ce qui caractérise un dépendant affectif ?
La dépendance affective est dangereuse pour les deux partenaires.
En effet, elle entraîne souvent un déséquilibre des pouvoirs et contribue à un cycle de comportements malsains.
Le dépendant affectif a son amour-propre et son estime de soi entremêlés à des facteurs extérieurs.
Cela signifie qu’il n’est jamais satisfait de soi ou qu’il ne reconnaît pas ses propres qualités tant que quelqu’un d’autre ne les remarque pas.
Souvent, cette personne comble ce vide intérieur par un travail lié à un fort statut social ou par des achats onéreux.
Bien évidemment, ces facteurs extérieurs ne sont qu’une distraction des besoins réels.
En termes d’amour, le dépendant n’est jamais comblé, car toute l’attention et tout l’amour que son/sa partenaire lui offre n’est pas suffisant pour combler le vide intérieur.
Ainsi, toutes ses relations amoureuses ont deux choses en commun :
- Des plaisirs et des passions intenses ;
- Une grande souffrance.
Comment se comporte une personne codépendante en amour ?
Une personne ayant un comportement codépendant dans une relation amoureuse adopte des comportements toxiques.
En quête perpétuelle de l’approbation de son partenaire, elle néglige ses propres besoins et son bien-être.
En amour, le dépendant affectif ne peut pas s’empêcher de faire ce qui suit :
1. Une femme codépendante veut toujours satisfaire les autres
Elle se donne beaucoup de mal pour plaire à son partenaire, en négligeant souvent ses propres besoins et désirs.
Elle cherche aussi constamment l’approbation et la validation de son partenaire pour se sentir valorisée.
2. Elle a peur de l’abandon
C’est profondément ancré en elle, elle a peur que son partenaire la remplace ou se lasse d’elle.
Ainsi, cette peur l’amène à tolérer des comportements malsains de la part de son partenaire ou à se donner beaucoup de mal pour éviter les conflits, même lorsqu’ils sont nécessaires.
3. Une femme codépendante tolère beaucoup trop
Elle a du mal à établir et à maintenir des limites saines dans la relation amoureuse.
En effet, dire ‘non’ est impossible pour elle, car elle pense automatiquement que son partenaire va arrêter de l’aimer.
Au fil du temps, ce comportement entraîne un déséquilibre dans la dynamique.
4. La faible estime de soi
Les personnes ayant des tendances à la codépendance ont une faible estime d’elles-mêmes et tirent une grande partie de leur valeur personnelle de l’approbation de leur partenaire.
Elles se sentent donc indignes ou peu aimables si elles ne sont pas constamment rassurées.
5. La difficulté à prendre des décisions
Prendre une décision est presque impossible parce que la femme codépendante pense à toutes les conséquences.
Si elle prend la mauvaise décision, son partenaire pourrait la détester ou la quitter.
D’un autre côté, c’est aussi la preuve que son autonomie individuelle a complètement disparu.
6. Accepter les abus
Afin de maintenir la relation et d’éviter les conflits, une personne codépendante adopte un comportement d’habilitation.
Il peut s’agir d’ignorer les habitudes ou les comportements destructeurs de son partenaire ou de participer activement à ces comportements.
C’est également accepter les manipulations mentales et les abus physiques, même si sa vie et son futur sont en danger.
7. Son empathie grandit
Une personne codépendante est hypersensible aux humeurs et aux émotions de son partenaire.
Elle modifie donc son comportement et ses réactions en fonction de la façon dont elle pense que son partenaire va réagir.
8. Un dépendant affectif néglige ses objectifs
Cette personne oublie ses propres objectifs et aspirations, en se concentrant principalement sur les objectifs et les besoins de son partenaire.
Encore une fois, il s’agit de faire plaisir à l’autre au détriment de ce qu’elle aime ou désire.
Sa personnalité et son futur passent automatiquement au second plan.
N’oublions pas que la codépendance existe sur un spectre, et que toutes les personnes qui présentent un ou plusieurs de ces comportements ne sont pas nécessairement codépendantes.
Dépendance affective et pervers narcissique
Dans une relation impliquant une personne codépendante et un narcissique, les choses peuvent vite devenir dangereuses.
Ce type de relation est communément appelé la dance codépendante narcissique.
Le narcissique cherche en permanence l’admiration, la validation et le contrôle, tandis que la personne codépendante cherche à répondre aux besoins du narcissique et à obtenir son approbation.
Cela crée une dynamique dans laquelle les deux individus complètent les schémas dysfonctionnels de l’autre.
La relation tend alors à tourner autour des désirs du narcissique, la personne codépendante sacrifiant ses propres besoins et son bien-être pour répondre aux exigences de son partenaire narcissique.
De plus, le pervers narcissique utilise souvent des tactiques de manipulation et de contrôle pour maintenir sa domination dans la relation.
La personne codépendante se sent obligée de se plier aux désirs du narcissique pour éviter les conflits ou l’abandon.
Elle a généralement une faible estime de soi et se sent valorisée en répondant aux besoins de son partenaire narcissique.
D’ailleurs, elle se sent responsable du bonheur du narcissique et croit qu’elle n’est pas digne d’amour et d’attention si elle ne répond pas aux attentes du narcissique.
Isolement de la personne codépendante
Le narcissique isole la personne codépendante de ses amis et de sa famille, la rendant plus dépendante du narcissique pour son soutien émotionnel et sa validation.
Il se livre à de la violence psychologique, par exemple en rabaissant la partenaire codépendante en le dévalorisant.
Malgré les abus, la personne codépendante reste dans la relation parce qu’elle a peur d’être seule ou parce qu’elle croit qu’elle ne peut pas fonctionner de manière indépendante.
Peu à peu, le pn s’engage dans un cycle d’idéalisation de sa partenaire, le couvrant d’attention et d’éloges, suivi de périodes de dévalorisation où le narcissique critique et dévalorise la personne codépendante.
Difficulté à mettre fin à la relation
Malgré la toxicité de la relation, la personne codépendante éprouve des difficultés à mettre fin à la relation en raison de la peur de l’abandon, d’une faible estime de soi ou de la conviction qu’elle ne peut pas fonctionner sans son partenaire narcissique.
Qu’est-ce qui cause la dépendance affective ?
L’origine de la dépendance affective ne peut pas se résumer à un seul facteur.
Sinon, ce serait trop simple…
On considère généralement qu’elle résulte d’une combinaison de facteurs génétiques, biologiques, psychologiques et environnementaux.
Grandir dans une famille présentant des dysfonctionnements, tels que la dépendance, des problèmes de santé mentale ou un comportement abusif, contribue grandement au développement de la codépendance.
Les enfants de ces familles apprennent des mécanismes d’adaptation et des comportements inadaptés.
La codépendance est aussi liée à des relations familiales enchevêtrées, où les frontières entre les membres de la famille sont floues.
Dans ces familles, les individus ont des difficultés à développer un sens aigu de leur propre personne et de leur autonomie.
Si vous avez une faible estime de soi, vous cherchez la validation des autres.
Cela vous amène à chercher la sécurité auprès des autres personnes.
De plus, si vous avez des tendances perfectionnistes, vous tirez votre valeur de votre réussite professionnelle et monétaire.
Les personnes qui ont subi des traumatismes, tels que des violences physiques, émotionnelles ou sexuelles, développent des comportements codépendants pour faire face aux conséquences de ces traumatismes.
Il faut également mentionner la prédisposition génétique !
La dépendance affective a une composante génétique, certaines personnes étant plus prédisposées à développer certains traits de personnalité ou comportements associés à la codépendance.
Enfin, elle est souvent liée à la toxicomanie, car les membres de la famille ou les partenaires de personnes ayant des problèmes de toxicomanie développent des schémas de codépendance pour tenter de faire face aux défis de la toxicomanie.
Amour ou dépendance affective : comment faire la différence ?
Beaucoup de personnes confondent l’amour avec la dépendance affective.
Il est naturel de faire cette erreur parce que personne ne vous a appris à vous tenir sur vos deux pieds.
Depuis la petite enfance, on vous a appris à dépendre d’un homme pour survivre et pour être heureuse.
Maintenant que vous connaissez les souffrances liées à ce trouble, nous allons vous aider à faire la différence entre ces deux termes.
1. L’amour ne peut pas remplir votre tasse émotionnelle
Lorsque vous construisez votre vie de couple, le respect de soi est essentiel.
La relation amoureuse grandit au fur et à mesure que les partenaires partagent des intérêts communs et des idéaux de futur.
Chacun respecte les besoins et les désirs de l’autre et les partenaires se respectent.
En fait, ils grandissent ensemble !
Vous ne vous isolez pas des autres et vous ne négligez pas votre bien-être.
Dans une relation toxique de codépendance, toute votre vie tourne autour de l’autre personne.
Généralement, vous tournez le dos à vos proches et vous en oubliez vos objectifs personnels.
Tout ce qui compte, c’est de rendre l’autre heureux et de l’aider à accomplir ce qu’il veut.
Le dépendant affectif s’efface complètement pour faire de la place à sa moitié.
Bref, vous ne vivez que pour l’autre, ce qui vous rend sujette à la manipulation mentale.
Ceci est particulièrement vrai pour les relations amoureuses narcissiques.
2. La douleur de la séparation physique
En amour, si vous passez beaucoup de temps loin de votre partenaire, cette personne vous manque.
Lorsque vous vous retrouvez, vous sentez des papillons dans votre estomac et vous êtes aux anges.
Après tout, vous avez l’habitude de voir la personne que vous aimez et de la prendre dans vos bras.
Donc quand ceci s’arrête, la séparation physique est douloureuse.
Pourtant, vous trouvez des moyens de vous occuper en espérant faire passer le temps.
Par contre, la dépendance affective crée une douleur physique.
Ainsi, le dépendant affectif fait tout pour changer ses plans afin de passer le plus de temps possible avec son/sa partenaire.
Cette personne ne peut pas supporter que sa moitié a une vie en-dehors de leur relation.
C’est aussi pour cela qu’il est extrêmement difficile pour ce genre de personne d’être célibataire.
3. La jalousie détruit l’amour
La relation amoureuse repose sur la confiance : une petite dose de jalousie est tolérable.
En effet, c’est même une preuve d’amour charmante.
Dans une relation toxique de codépendance, la jalousie est présente tous les jours.
Pour les plus petits comportements, une crise de jalousie peut éclater.
Une collègue de travail envoie un message le soir pour demander quelle partie du projet elle doit faire et c’est l’escalade.
Le problème est que le dépendant affectif a une faible estime de soi et il/elle imagine des scénarios qui n’existent pas.
Cette personne ne se sent pas à la hauteur, alors elle voit tout le monde comme un danger.
De plus, certaines personnes vont jusqu’à utiliser la jalousie pour tester l’amour de l’autre.
Dans une véritable relation d’amour, on ne manipule pas son partenaire de la sorte.
4. L’amour à sens unique
Très souvent, les personnes codépendantes ne se rendent pas compte qu’elles sont dans une relation toxique.
Ainsi, même si elles sont incompatibles avec leur partenaire, elles restent.
Elles ferment les yeux sur les mensonges, les conflits et les abus.
Elles ignorent tous les signaux d’alarme, simplement pour avoir quelqu’un à leurs côtés.
Les codépendants ne peuvent pas supporter l’idée d’être célibataires.
Dans une relation amoureuse saine, les partenaires sont capables de reconnaître leurs problèmes.
S’ils n’ont pas un attachement malsain, ils sont en mesure de régler leurs conflits de façon saine.
Ils sont aussi capables de se séparer pour trouver le véritable amour.
5. Les fantasmes de l’amour
Au lieu de chercher à vivre dans le présent et à profiter de chaque instant à deux, le codépendant vit un fantasme.
En fait, il n’est jamais vraiment dans le monde réel !
Il est plutôt en train de vivre son amour dans sa tête : il s’imagine qu’il a une relation idéale.
Dans une relation saine, le couple vit des hauts et des bas, il affronte les aléas de la vie ensemble.
Dans une relation toxique, le codépendant refuse de voir les problèmes de son couple.
Il préfère se voiler la face et se mentir !
Pour lui, rien ne peut égaler ses fantasmes !
6. Les montagnes russes émotionnelles
En amour, les émotions connaissent des hauts et des bas !
Il est impossible de toujours être heureux et satisfaits de l’autre.
Quand les choses tournent mal, les partenaires discutent et trouvent un commun accord.
Par contre, dans une relation toxique codépendante, les émotions sont toujours intenses.
Elles passent de l’amour fou et de la passion à la haine pure.
C’est pour cela qu’une telle relation tourne à l’obsession et devient addictive.
Elle agit comme une drogue sur le dépendant affectif qui a constamment besoin de sa piqûre de rappel.
Pour cette personne, les émotions fortes sont essentielles à sa survie : elle a besoin que son coeur batte la chamade.
Quelles sont les conséquences de ce trouble psychologique ?
Je ne vais pas mentionner de nouveau la faible estime de soi, le manque de limites ou la négligence personnelle.
Nous avons déjà abordé ces sujets en long, en large et en travers !
Mais je vais vous révéler ce qu’il se passe au fur et à mesure qu’une relation amoureuse codépendante se développe.
Les relations de codépendance impliquent de mauvaises aptitudes à la communication.
Les dépendants affectifs ont du mal à exprimer leurs besoins, leurs sentiments et leurs opinions ouvertement et avec assurance, ce qui entraîne des malentendus et des besoins non satisfaits.
En raison de leur dépendance à l’égard des autres, ils ont du mal à être autonomes.
Prendre des décisions ou choisir une voie à suivre est extrêmement difficile pour eux.
La codépendance contribue également à un cycle de relations malsaines, car les personnes peuvent être attirées par des partenaires qui renforcent leurs tendances à la codépendance ou qui présentent des comportements dysfonctionnels complémentaires.
Détresse émotionnelle
La codépendance entraîne souvent une détresse émotionnelle, notamment l’anxiété, la dépression et un sentiment d’inadéquation.
L’attention constante portée aux besoins et aux émotions des autres peut être épuisante sur le plan émotionnel.
Enfin, les personnes codépendantes peuvent trouver difficile de mettre fin à des relations malsaines, même si elles nuisent à leur bien-être.
La peur de la solitude ou de l’abandon peut les maintenir dans des situations toxiques.
Comment soigner la dépendance affective ?
Comme tout trouble mental, il est important de réagir à temps pour guérir.
Mais c’est un long processus et il faut faire preuve de patience.
Voici quelques mesures générales qui peuvent s’avérer utiles :
-
Conscience de soi
Reconnaissez et comprenez vos schémas de codépendance.
Il s’agit de reconnaître votre tendance à vous concentrer excessivement sur les autres, à négliger vos propres besoins et à rechercher la validation de sources extérieures.
-
Thérapie et conseils
Un professionnel de la santé mentale peut vous aider à explorer les causes profondes de votre codépendance, vous offrir un espace sûr pour l’exploration de soi et vous donner des conseils pour développer des comportements plus sains.
-
Renseignez-vous
Lisez des livres et des articles sur la codépendance pour mieux comprendre les schémas et les dynamiques en jeu.
La connaissance peut vous permettre d’apporter des changements positifs !
-
Limites saines
Apprenez à fixer et à maintenir des limites saines.
Cela implique d’exprimer ses besoins, de dire « non » lorsque c’est nécessaire et de comprendre que l’on n’est pas responsable des émotions ou des actions des autres.
-
Soin de soi
Accordez la priorité aux soins et à l’amour de soi !
Veillez à votre bien-être physique, émotionnel et mental, pratiquez également des activités qui vous apportent joie et détente.
-
Développez votre indépendance
Travaillez à développer votre indépendance et votre sens de l’autonomie.
Poursuivez des intérêts et des activités qui ne sont pas liés à vos relations avec les autres.
-
Remettez en question les pensées négatives
Identifier et remettre en question les schémas de pensée négatifs contribuent à la libération mentale et émotionnelle.
Pratiquez l’autocompassion et remplacez les pensées autocritiques par des pensées plus positives et réalistes.
-
Pleine conscience et méditation
Pratiquez la pleine conscience et la méditation pour vous aider à rester présente et consciente de vos pensées et de vos émotions.
Cela peut vous aider à rompre avec des schémas de comportement automatiques et malsains.
-
Améliorer ses compétences en matière de communication
Améliorez vos compétences en matière de communication, à la fois en exprimant vos propres besoins et en écoutant activement les autres.
Une communication efficace est essentielle pour établir des relations saines !
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