On ne peut pas nier le fait que les parents sont stressés !
Les psychologues disent même que cette période est la pire pour la parentalité et l’éducation.
En effet, de nouveaux défis se présentent que nos parents ou nos grands-parents n’ont jamais eu à affronter.
La pression et les responsabilités sont plus grandes, ce qui crée beaucoup d’anxiété et de fatigue.
Par exemple, subvenir aux besoins d’une famille est financièrement exigeant : le coût de la garde des enfants, de l’éducation, des soins de santé et d’autres nécessités pèse lourd sur le budget familial.
Les nouveaux parents, en particulier, sont souvent confrontés à un manque de sommeil en raison des besoins des nourrissons et des jeunes enfants.
Cela entraîne inévitablement un épuisement physique et émotionnel.
D’ailleurs, de nombreux parents doivent concilier les exigences de leur travail et leurs responsabilités à la maison.
Il peut donc être difficile de trouver le bon équilibre entre le travail et la famille, principalement parce que de plus en plus de femmes travaillent.
De plus, tous les enfants ne sont pas des anges !
Ainsi, des problèmes de comportement, de sommeil ou d’apprentissage aggravent la situation et l’état parental.
Plus les parents ont d’enfants, moins ils ont de temps personnel à consacrer à leurs loisirs et à leurs besoins.
Les exigences du rôle de parent peuvent parfois mettre à rude épreuve la relation d’un couple.
Il peut être difficile de trouver un équilibre entre les besoins des enfants et le maintien d’un partenariat sain.
Il ne faut pas non plus oublier les inquiétudes liées à l’avenir des enfants.
À l’ère des réseaux sociaux, les parents voient souvent des versions édulcorées de la vie d’autres familles, ce qui entraîne un sentiment d’inadéquation et une pression pour répondre à certaines normes.
Enfin, la gestion du temps d’écran des enfants et de leur exposition aux appareils numériques est une source de stress, car la technologie est de plus en plus intégrée dans la vie quotidienne.
Alors, comment pouvez-vous limiter votre stress en tant que maman ?
Quelles sont les étapes ou les conseils dont vous avez besoin pour être plus détendue ?
Certes, vous ne pouvez pas contrôler votre environnement, vos responsabilités ou vos obligations.
Pourtant, vous pouvez contrôler votre réaction à certains événements.
Croyez-moi, cela fera toute la différence !
1. Ne perdez pas de temps sur les plaintes de votre enfant
Votre enfant est-il blessé ?
Est-il malade ?
S’il ne se trouve pas dans l’une de ces situations, vous n’avez pas besoin de paniquer ou de réagir sur le coup.
Votre enfant pleure parce qu’il voulait s’inscrire au football et au rugby, mais votre budget ne vous le permet pas ?
C’est triste sur le moment, mais ce n’est pas la fin du monde !
Il est important de faire la différence entre les situations vraiment graves et les cris d’un enfant gâté.
2. Votre enfant est spécial, mais pas au point que vous pensez
J’aime la consistance et le respect de ses engagements, donc si mon enfant décide de s’inscrire au karaté, il va aller à tous les entraînements.
Même si ce jour-là, il a un anniversaire ou une série qu’il veut regarder, il va d’abord répondre à ses obligations.
Si tout le monde doit nager pendant le cours de sport, il nagera aussi, même s’il n’aime pas ça.
Vous ne devez pas protéger votre enfant contre tous les inconvénients de la vie ou de ses décisions.
Sortir de sa zone de confort ou supporter un peu de malaise n’est pas la fin du monde, cela construit le caractère.
3. Laissez-le jouer dehors
Il est plus facile pour vous d’avoir l’œil sur votre enfant quand il joue à l’intérieur.
Mais le problème est que les cris, la saleté et le bazar vous stressent, alors vous vous mettez vous-même à crier.
Si votre enfant a la possibilité de jouer dehors, avec ses copains, ses voisins ou même seul, laissez-le.
L’extérieur présente de nombreux avantages : les enfants ont un meilleur appétit, ils stimulent leur imagination et la maison elle-même est plus rangée.
Bien sûr, les enfants ont aussi besoin de se divertir à l’extérieur, il faudra donc acheter quelque chose ou leur donner de vieilles casseroles, des vélos, etc.
Vous pouvez même offrir à votre enfant un goûter à manger sur la pelouse.
4. Facilitez-vous la vie
Inscrivez vos enfants à la garderie s’ils ne peuvent pas encore aller à l’école, même si vous ne travaillez pas.
Ne laissez personne vous culpabiliser ou vous dire que vous êtes une mauvaise mère parce que vous voulez un peu de temps pour vous.
Pour être une bonne maman, vous devez prendre soin de vous et vous reposer.
Tout gain de temps est à prendre, tout gain d’espace personnel est à prendre.
Personne ne vit votre vie, c’est donc à vous de l’organiser de la meilleure manière possible pour votre famille.
Une maman stressée n’est pas une personne qui peut prendre soin de soi ou de ses enfants.
5. Acceptez le fait que vous ne pouvez pas être à plusieurs endroits
Ce n’est pas une excuse, mais un fait concret !
Les enfants sont doués pour vous faire culpabiliser en disant que tous les parents sont venus regarder le match de football SAUF VOUS.
Ils vous disent que toutes les mamans achètent des costumes pour Halloween et que vous êtes la seule à le coudre.
Bien entendu, ceci n’est pas vrai, vos enfants veulent seulement que vous fassiez les choses à leur façon.
Quand vous pouvez venir au match, félicitez votre enfant pour son jeu.
Quand vous ne pouvez pas, prenez-le dans vos bras et demandez-lui pardon.
Vous ne pouvez pas vous scinder en deux, ni faire plus que ce que votre corps et votre temps vous permettent.
6. Le troisième enfant n’obtient pas le même luxe
Il est normal que le troisième enfant hérite des habits, des jouets ou des sacs de ses aînés.
Il n’y a rien de mal à cela !
Ses anniversaires ne seront pas aussi grandioses que ceux du premier.
Beaucoup de parents se brisent le dos pour s’assurer que le troisième obtienne le même traitement à tous points que le premier.
Ce n’est pas possible, car votre budget est plus serré et votre temps aussi.
D’ailleurs, au fil du temps, vous comprenez beaucoup de choses comme le fait qu’il soit ridicule d’organiser une fête d’anniversaire qui ressemble à un mariage.
Votre troisième enfant a d’autres avantages comme des aînés qui l’aident en tout, qui rangent sa chambre à sa place ou qui lui apprennent comment éviter les punitions.
7. Vous ne pouvez pas contrôler vos enfants
Les enfants sont une improvisation que l’on ne prépare pas à l’avance, mais que l’on gère en cours de route.
Je connais des gens qui ne sont pas d’accord avec cela parce qu’ils suivent rigoureusement une routine ou une parentalité fixe.
Ces personnes stressent même lorsqu’un ingrédient n’est tout simplement pas disponible ou qu’elles ont oublié de l’acheter.
En fait, elles considèrent leurs enfants comme un gâteau qui doit être parfaitement équilibré et délicieux.
Elles passent du temps à vérifier par la porte du four comment progresse leur nourriture.
Ceux qui improvisent travaillent avec ce qu’ils ont !
Bien sûr, il existe quelques règles générales, les ingrédients doivent être plus ou moins similaires en termes de taille et de type, etc.
Mais le résultat est un plat très savoureux et passionnant, et le meilleur, c’est qu’il n’y en a jamais deux identiques.
8. L’école est réservée aux enfants
Essayez de ne pas vous immiscer dans les affaires scolaires, faites confiance aux enseignants et laissez-les faire leur travail.
De plus, je crois que les enfants devraient avoir des histoires de l’école, des choses dont je ne suis pas consciente et qu’ils peuvent me raconter.
Si je suis toujours là, que me diront-ils ?
Et il faut qu’ils vivent à la fois de bonnes et de mauvaises expériences.
N’intervenez pas dès que votre enfant obtient une mauvaise note ou qu’il se dispute avec un camarade de classe.
Croyez-moi, vous ne ferez que détruire la confiance en soi de votre enfant et les choses empireront.
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